Les parents d'élèves ont organisé un mouvement de protestation, la semaine dernière, devant le lycée Djillali- Bounaama situé au chef-lieu de Tipasa. Ces protestations font suite à la décision de transfert d'une partie des élèves de ce lycée vers le nouveau lycée situé dans la partie ouest de la ville. Les lycéens de même que leurs parents refusent catégoriquement ce transfert, le qualifiant d'anarchique et d'injustice envers les enfants des «zawalia». Les parents des élèves transférés estiment que ce transfert s'est fait sans aucune étude préalable ou respect de la répartition géographique de la résidence des élèves. «Nos enfants résidant pourtant tout près du lycée seront désormais obligés d'effectuer un long trajet pour poursuivre leurs études alors que d'autres élèves, qui n'habitent pas cette zone, n'ont pas été concernés par le transfert et continuent tranquillement à occuper les sièges de ce lycée», nous dira le père de l'un des élèves transférés. D'autre part, les travaux dans le nouveau lycée ne sont pas complètement achevés et cette nouvelle infrastructure est loin d'être dotée de tous les moyens nécessaires pour l'accueil des élèves. «Il n'y a pas d'eau courante au niveau de ce lycée, il n'y a pas de calme non plus. Comment voulez-vous que des élèves, de classes d'examens surtout, se concentrent sur leurs études au milieu d'une zone en pleine construction, c'est un vrai chantier et un vrai casse-tête », déplore un autre parent venu protester devant le siège du lycée. Beaucoup de points négatifs sont à déplorer concernant le nouveau lycée en question, car en plus de sa situation à proximité d'un chantier très bruyant, son chemin d'accès est impraticable et l'on déplore par ailleurs en son sein le manque d'encadrement. Pour tous ces inconvénients et d'autres encore, les parents d'élèves ne sont pas près de mettre fin à leur action de contestation, du moins tant qu'une solution raisonnable et juste n'est pas envisagée par les autorités concernées. Les parents d'élèves ont organisé un mouvement de protestation, la semaine dernière, devant le lycée Djillali- Bounaama situé au chef-lieu de Tipasa. Ces protestations font suite à la décision de transfert d'une partie des élèves de ce lycée vers le nouveau lycée situé dans la partie ouest de la ville. Les lycéens de même que leurs parents refusent catégoriquement ce transfert, le qualifiant d'anarchique et d'injustice envers les enfants des «zawalia». Les parents des élèves transférés estiment que ce transfert s'est fait sans aucune étude préalable ou respect de la répartition géographique de la résidence des élèves. «Nos enfants résidant pourtant tout près du lycée seront désormais obligés d'effectuer un long trajet pour poursuivre leurs études alors que d'autres élèves, qui n'habitent pas cette zone, n'ont pas été concernés par le transfert et continuent tranquillement à occuper les sièges de ce lycée», nous dira le père de l'un des élèves transférés. D'autre part, les travaux dans le nouveau lycée ne sont pas complètement achevés et cette nouvelle infrastructure est loin d'être dotée de tous les moyens nécessaires pour l'accueil des élèves. «Il n'y a pas d'eau courante au niveau de ce lycée, il n'y a pas de calme non plus. Comment voulez-vous que des élèves, de classes d'examens surtout, se concentrent sur leurs études au milieu d'une zone en pleine construction, c'est un vrai chantier et un vrai casse-tête », déplore un autre parent venu protester devant le siège du lycée. Beaucoup de points négatifs sont à déplorer concernant le nouveau lycée en question, car en plus de sa situation à proximité d'un chantier très bruyant, son chemin d'accès est impraticable et l'on déplore par ailleurs en son sein le manque d'encadrement. Pour tous ces inconvénients et d'autres encore, les parents d'élèves ne sont pas près de mettre fin à leur action de contestation, du moins tant qu'une solution raisonnable et juste n'est pas envisagée par les autorités concernées.