Des gangs de revendeurs de drogue, à l'instar des "marabuntas" tristement célèbres en Amérique Centrale, sont-ils en train de voir le jour au sein de nos quartiers populaires ? Tout porte à le croire au vue de la soirée d'horreur vécue par les résidants de Bab El-Oued dans la nuit de lundi à mardi. Des gangs de revendeurs de drogue, à l'instar des "marabuntas" tristement célèbres en Amérique Centrale, sont-ils en train de voir le jour au sein de nos quartiers populaires ? Tout porte à le croire au vue de la soirée d'horreur vécue par les résidants de Bab El-Oued dans la nuit de lundi à mardi. Dans la nuit de lundi à mardi, la localité de Bab El-Oued a vécu des scènes cauchemardèsques. En effet des centaines de jeunes armé d'armes blanches : sabres, couteaux, épées et barres en fer se sont affrontés. Il s'agit en l'occurence de deux groupes, celui du quartier: Carrière Jobert face aux jeunes du quartier des Trois -Horloges, lequel selon les informations en notre possession répondait à la provocation du groupe voisin. Le bilan établi par les services de sécurité est terrifiant. Des dizaines de jeunes, tous adolescents, ont été blessés durant les affrontements lors desquels des centaines de voitures de citoyens ont été saccagées. Affrontements entre gangs de quartiers La genèse de l'histoire, ce qui amis le feu aux poudres et qui a provoqué tous ces événements ravageurs, est une banale histoire de vente de stupéfiants entre deux dealers. L'un appartenant au premier quartier sus-cité et l'autre résidant dans le deuxième quartier, cela selon les propos des résidants du quartier des Trois-Horloges. De pareils dégâts matériels et "humains" et une telle haine entre adolescents ne peuvent être les conséquences d'une simple affaire de vente de drogu. Le malaise est bien plus profond et c'est de véritables gangs de quartiers à l'instar des "Marabuntas" centro-américains semant la terreur et qui se battent pour la mainmise sur les quartiers. Des personnes âgées affirment que ce sont des vieilles querelles qui seraient à l'origine de ces affrontements mortels. Des querelles qui se réveillent au moindre incident. Les riverains encore sous le choc Les résidants de Bab El-Oued encore en état de choc nous narrent des bribes de leur nuit d'épouvante : "Dans la nuit de lundi à minuit, Des jeunes de la cité Diar El-Kef, se sont dirigé vers le marché informel de vente de portables dénommé "dlala". Cette descente faisait suite aux doléances de l'un de leur amis qui aurait acheté de la drogue de mauvaise qualité, le vendeur "indélicat" aurait refusé de le rembourser. Les jeunes, en guise de représailles, et sous l'effet de substances illicites se sont donc mis à tout saccager sur leur passage : rien n'a échappé à leur vindicte tout le long du boulevard Colonel-Lotfi et jusqu'à ce qu'ils arrivent à la rue Omar-Ben-Aïssa. Ils sont arrivés jusqu'aux Trois-Horloges, tout près du commissariat du 5ème arrondissement. Les jeunes de ce quartier n'ont pas manqué de réagir et c'est ainsi que les affrontements ont commencé. Les accrochages ont fait beaucoup de blessés et des pertes matérielles très importantes. Le lendemain, d'autres groupes ont tenté de s'organiser pour prendre la relève de ces combat de la mort, mais heureusement les services de l'ordre veillaient au grain et étaient fortement présents sur les lieux dès la matinée, pour éviter justement une réedition de ces combats meurtiers." Absence inexplicable, cette nuit, des autorités ? Une heure durant, de jeunes survoltés ont été livrés à eux-mêmes et ont eu toute lattitude de casser , brûler et s'entre-tuer sans que les forces de l'ordre ne réagissent aucunement. Ils ont opéré des acte de vandalisme, s'en sont pris aux bienx des individus, ils ont semé la terreur au sein des familles riveraines, qui ne sont pas près d'oublier cette nuit, ilsont réussi à déstabiliser l'ordre public dans toute la localité. Les agents de l'ordre étaient absent s et ne sont pas intervenus durant toute ladurée des affrontements, où étaient-ils ?, c'est la question que se pose les citoyens. Selon des témoignages, ce ne serait pas la première fois que de pareils affrontements éclatent entre des "gangs" rivaux, tourours selon nos interlocuteurs les jeunes de Carrière-Jobert en seraient à chaque fois les instigateurs. Ce sentiment d'insécurité ne cesse de hanter les nuits des riverains qui assistent impuissants à ces bagarres rangées, qui souvent sont suivies de crimes. Les habitants, les parents surtout s'interrogent sur l'avenir de leurs enfants évoluant dans un milieu où la violence est omniprésente, quiles protégera de cette influence gangrenante ousimplement lors de nouveaux affrontements qui ne manqueront pas de survenir. Ces derniers événements, ont prouvé , si besoin était, que l'ordre et la sérénité ne font pas partie de l'environnement de ces cités populaires où tous les fléaux de la mal-vie se trouvent réunis. Dans le souci d'avoir plus de détails sur cette triste affaire et mieux informer nos lecteurs, nous avons tenté de nous rapprocher les commissariats concernés, mais toutes nos tentatives se sont déclarées vaines. Dans la nuit de lundi à mardi, la localité de Bab El-Oued a vécu des scènes cauchemardèsques. En effet des centaines de jeunes armé d'armes blanches : sabres, couteaux, épées et barres en fer se sont affrontés. Il s'agit en l'occurence de deux groupes, celui du quartier: Carrière Jobert face aux jeunes du quartier des Trois -Horloges, lequel selon les informations en notre possession répondait à la provocation du groupe voisin. Le bilan établi par les services de sécurité est terrifiant. Des dizaines de jeunes, tous adolescents, ont été blessés durant les affrontements lors desquels des centaines de voitures de citoyens ont été saccagées. Affrontements entre gangs de quartiers La genèse de l'histoire, ce qui amis le feu aux poudres et qui a provoqué tous ces événements ravageurs, est une banale histoire de vente de stupéfiants entre deux dealers. L'un appartenant au premier quartier sus-cité et l'autre résidant dans le deuxième quartier, cela selon les propos des résidants du quartier des Trois-Horloges. De pareils dégâts matériels et "humains" et une telle haine entre adolescents ne peuvent être les conséquences d'une simple affaire de vente de drogu. Le malaise est bien plus profond et c'est de véritables gangs de quartiers à l'instar des "Marabuntas" centro-américains semant la terreur et qui se battent pour la mainmise sur les quartiers. Des personnes âgées affirment que ce sont des vieilles querelles qui seraient à l'origine de ces affrontements mortels. Des querelles qui se réveillent au moindre incident. Les riverains encore sous le choc Les résidants de Bab El-Oued encore en état de choc nous narrent des bribes de leur nuit d'épouvante : "Dans la nuit de lundi à minuit, Des jeunes de la cité Diar El-Kef, se sont dirigé vers le marché informel de vente de portables dénommé "dlala". Cette descente faisait suite aux doléances de l'un de leur amis qui aurait acheté de la drogue de mauvaise qualité, le vendeur "indélicat" aurait refusé de le rembourser. Les jeunes, en guise de représailles, et sous l'effet de substances illicites se sont donc mis à tout saccager sur leur passage : rien n'a échappé à leur vindicte tout le long du boulevard Colonel-Lotfi et jusqu'à ce qu'ils arrivent à la rue Omar-Ben-Aïssa. Ils sont arrivés jusqu'aux Trois-Horloges, tout près du commissariat du 5ème arrondissement. Les jeunes de ce quartier n'ont pas manqué de réagir et c'est ainsi que les affrontements ont commencé. Les accrochages ont fait beaucoup de blessés et des pertes matérielles très importantes. Le lendemain, d'autres groupes ont tenté de s'organiser pour prendre la relève de ces combat de la mort, mais heureusement les services de l'ordre veillaient au grain et étaient fortement présents sur les lieux dès la matinée, pour éviter justement une réedition de ces combats meurtiers." Absence inexplicable, cette nuit, des autorités ? Une heure durant, de jeunes survoltés ont été livrés à eux-mêmes et ont eu toute lattitude de casser , brûler et s'entre-tuer sans que les forces de l'ordre ne réagissent aucunement. Ils ont opéré des acte de vandalisme, s'en sont pris aux bienx des individus, ils ont semé la terreur au sein des familles riveraines, qui ne sont pas près d'oublier cette nuit, ilsont réussi à déstabiliser l'ordre public dans toute la localité. Les agents de l'ordre étaient absent s et ne sont pas intervenus durant toute ladurée des affrontements, où étaient-ils ?, c'est la question que se pose les citoyens. Selon des témoignages, ce ne serait pas la première fois que de pareils affrontements éclatent entre des "gangs" rivaux, tourours selon nos interlocuteurs les jeunes de Carrière-Jobert en seraient à chaque fois les instigateurs. Ce sentiment d'insécurité ne cesse de hanter les nuits des riverains qui assistent impuissants à ces bagarres rangées, qui souvent sont suivies de crimes. Les habitants, les parents surtout s'interrogent sur l'avenir de leurs enfants évoluant dans un milieu où la violence est omniprésente, quiles protégera de cette influence gangrenante ousimplement lors de nouveaux affrontements qui ne manqueront pas de survenir. Ces derniers événements, ont prouvé , si besoin était, que l'ordre et la sérénité ne font pas partie de l'environnement de ces cités populaires où tous les fléaux de la mal-vie se trouvent réunis. Dans le souci d'avoir plus de détails sur cette triste affaire et mieux informer nos lecteurs, nous avons tenté de nous rapprocher les commissariats concernés, mais toutes nos tentatives se sont déclarées vaines.