Le relèvement du Salaire national minimum garanti actuellement à 12.000 DA, se matérialise après la décision prise au cours du conseil des ministres de consacrer 230 milliards de dinars à ce dossier et à celui de la mise en œuvre du nouveau régime indemnitaire des fonctionnaires. Une enveloppe financière a été dégagée au titre du budget de fonctionnement. Un volet pour lequel la loi de finances 2010 a réservé 2.838 milliards DA dont 1.600 milliards DA pour le fonctionnement des services de l'Etat. Il faut dire, que cette disposition soulage à plus d'un titre le monde du travail qui reste très attentif et à l'écoute des préparatifs de la prochaine tripartite qui a inscrit l'augmentation du SNMG à son ordre du jour. Néanmoins, une inconnue subsiste toujours, la date de la réunion qui n'est pas encore arrêtée ou encore le niveau de l'augmentation que la centrale syndicale compte soumettre pour approbation et du gouvernement et du patronat. Certains responsables au sein de l'UGTA ont déjà laissé entendre leur souhait de voir le SNMG passer à 20.000 DA et ce, au regard de l'inflation qui a atteint des proportions jamais égalées. Mais la bataille est loin d'être gagnée car ni le gouvernement ni le patronat ne se sont exprimés sur le niveau de l'augmentation. Cela dit, le volet social reste la principale préoccupation du gouvernement. Le président de la République l'a souligné en Conseil des ministres en insistant sur la poursuite de l'intervention de l'Etat. «En dépit de la baisse actuelle des recettes, l'Etat entend maintenir ses grands efforts en matière de politique sociale, de lutte contre le chômage mais aussi de réunion des conditions d'une croissance plus forte et d'une plus grande création locale de richesses», lit-on dans le communiqué du Conseil des ministres. Avec le langage des chiffres, près de 1.000 milliards DA seront ainsi consacrés en 2010 pour la politique sociale de l'Etat, comme le précise le projet de loi de finances. 100 milliards de dinars, soit 10% de ce montant seront affectés à la lutte contre le chômage dont 84 milliards DA pour le financement des allocations forfaitaires de solidarité et la création d'emplois d'attente. Afin d'encourager les entreprises à embaucher davantage, elles bénéficieront d'abattements sur la part patronale des cotisations sociales. Le relèvement du Salaire national minimum garanti actuellement à 12.000 DA, se matérialise après la décision prise au cours du conseil des ministres de consacrer 230 milliards de dinars à ce dossier et à celui de la mise en œuvre du nouveau régime indemnitaire des fonctionnaires. Une enveloppe financière a été dégagée au titre du budget de fonctionnement. Un volet pour lequel la loi de finances 2010 a réservé 2.838 milliards DA dont 1.600 milliards DA pour le fonctionnement des services de l'Etat. Il faut dire, que cette disposition soulage à plus d'un titre le monde du travail qui reste très attentif et à l'écoute des préparatifs de la prochaine tripartite qui a inscrit l'augmentation du SNMG à son ordre du jour. Néanmoins, une inconnue subsiste toujours, la date de la réunion qui n'est pas encore arrêtée ou encore le niveau de l'augmentation que la centrale syndicale compte soumettre pour approbation et du gouvernement et du patronat. Certains responsables au sein de l'UGTA ont déjà laissé entendre leur souhait de voir le SNMG passer à 20.000 DA et ce, au regard de l'inflation qui a atteint des proportions jamais égalées. Mais la bataille est loin d'être gagnée car ni le gouvernement ni le patronat ne se sont exprimés sur le niveau de l'augmentation. Cela dit, le volet social reste la principale préoccupation du gouvernement. Le président de la République l'a souligné en Conseil des ministres en insistant sur la poursuite de l'intervention de l'Etat. «En dépit de la baisse actuelle des recettes, l'Etat entend maintenir ses grands efforts en matière de politique sociale, de lutte contre le chômage mais aussi de réunion des conditions d'une croissance plus forte et d'une plus grande création locale de richesses», lit-on dans le communiqué du Conseil des ministres. Avec le langage des chiffres, près de 1.000 milliards DA seront ainsi consacrés en 2010 pour la politique sociale de l'Etat, comme le précise le projet de loi de finances. 100 milliards de dinars, soit 10% de ce montant seront affectés à la lutte contre le chômage dont 84 milliards DA pour le financement des allocations forfaitaires de solidarité et la création d'emplois d'attente. Afin d'encourager les entreprises à embaucher davantage, elles bénéficieront d'abattements sur la part patronale des cotisations sociales.