Un programme pour le développement des énergies renouvelables en Algérie, qui s'étalera sur une décennie, est en préparation au niveau du département de Chakib Khelil, c'est ce qu'a fait savoir ce dernier, ministre de l'Energie et des Mines, hier à Alger, à l'occasion de l'ouverture de la première conférence nationale des cadres du secteur de l'énergie, organisée sous le thème «Pour une mobilisation intelligente des compétences du secteur». «Un programme de développement des énergies renouvelables sera soumis au gouvernement», a indiqué le ministre. La concrétisation de ce programme «a pour objectif de développer des compétences sur toute la chaîne allant de la conception, l'engineering jusqu'à la fabrication locale d'équipements», a-t-il précisé. Sachant également que dans le même cadre, la loi de finances 2010, approuvée lundi par le Conseil des ministres, prévoie la création d'un Fonds national des énergies renouvelables. S'agissant du développement de l'énergie nucléaire, le même intervenant a déclaré qu'un nouveau cadre juridique est en phase de finalisation pour permettre la mise en place des institutions nécessaires pour le développement de cette industrie. Il ajoute que l'action du secteur en matière nucléaire a pour priorité la constitution des compétences nationales capables de mener un programme électronucléaire, selon l'APS qui a rapporté l'information. Faisant le bilan de son secteur pour ces dix dernières années, le ministre a fait état de la conclusion de 40 contrats de recherche, la réalisation de 106 découvertes de pétrole et de gaz et une capacité de production de brut de 1,4 million de baril/jour. En ce qui concerne l'industrie minière, il a parlé de 987 titres miniers octroyés via 27 actions de promotion de la petite et moyenne mines ayant généré plus de 7 milliards de dinars de recettes au Trésor public. Dans le but d'arriver à terme de ses objectifs, le secteur chapeauté par Chakib Khelil poursuit la mise en œuvre de son programme de développement à moyen terme qui consiste principalement à accroître les capacités d'exportation de gaz à 85 milliards de m3/an, de porter celles du raffinage à plus de 45 millions de tonnes/an, d'atteindre un taux de couverture de près de 99% pour l'électricité et 57% pour le gaz avec une capacité d'exporter de l'électricité à moyen terme. En plus de finaliser le programme de dessalement d'eau de mer, d'accroître la production de phosphate à 4 millions de tonnes/an et celle de l'or à plus de 3 tonnes/an et de produire à nouveau du zinc et du cuivre. Un programme pour le développement des énergies renouvelables en Algérie, qui s'étalera sur une décennie, est en préparation au niveau du département de Chakib Khelil, c'est ce qu'a fait savoir ce dernier, ministre de l'Energie et des Mines, hier à Alger, à l'occasion de l'ouverture de la première conférence nationale des cadres du secteur de l'énergie, organisée sous le thème «Pour une mobilisation intelligente des compétences du secteur». «Un programme de développement des énergies renouvelables sera soumis au gouvernement», a indiqué le ministre. La concrétisation de ce programme «a pour objectif de développer des compétences sur toute la chaîne allant de la conception, l'engineering jusqu'à la fabrication locale d'équipements», a-t-il précisé. Sachant également que dans le même cadre, la loi de finances 2010, approuvée lundi par le Conseil des ministres, prévoie la création d'un Fonds national des énergies renouvelables. S'agissant du développement de l'énergie nucléaire, le même intervenant a déclaré qu'un nouveau cadre juridique est en phase de finalisation pour permettre la mise en place des institutions nécessaires pour le développement de cette industrie. Il ajoute que l'action du secteur en matière nucléaire a pour priorité la constitution des compétences nationales capables de mener un programme électronucléaire, selon l'APS qui a rapporté l'information. Faisant le bilan de son secteur pour ces dix dernières années, le ministre a fait état de la conclusion de 40 contrats de recherche, la réalisation de 106 découvertes de pétrole et de gaz et une capacité de production de brut de 1,4 million de baril/jour. En ce qui concerne l'industrie minière, il a parlé de 987 titres miniers octroyés via 27 actions de promotion de la petite et moyenne mines ayant généré plus de 7 milliards de dinars de recettes au Trésor public. Dans le but d'arriver à terme de ses objectifs, le secteur chapeauté par Chakib Khelil poursuit la mise en œuvre de son programme de développement à moyen terme qui consiste principalement à accroître les capacités d'exportation de gaz à 85 milliards de m3/an, de porter celles du raffinage à plus de 45 millions de tonnes/an, d'atteindre un taux de couverture de près de 99% pour l'électricité et 57% pour le gaz avec une capacité d'exporter de l'électricité à moyen terme. En plus de finaliser le programme de dessalement d'eau de mer, d'accroître la production de phosphate à 4 millions de tonnes/an et celle de l'or à plus de 3 tonnes/an et de produire à nouveau du zinc et du cuivre.