Il existe dans la wilaya des communes non cadastrées, particulièrement rurales, et cela constitue un grand handicap pour établir un certificat de possession. A cela s'ajoutent les lourdeurs financières que le demandeur doit débourser avant même l'entame des travaux de construction de la bâtisse. Il existe dans la wilaya des communes non cadastrées, particulièrement rurales, et cela constitue un grand handicap pour établir un certificat de possession. A cela s'ajoutent les lourdeurs financières que le demandeur doit débourser avant même l'entame des travaux de construction de la bâtisse. Malgré les prérogatives administratives des élus locaux, notamment les P/APC, pour délivrer des certificats de possession aux citoyens désireux de construire une maison dans le cadre de l‘aide à l‘auto-construction, le programme de l‘habitat rural dans la wilaya de Boumerdès est loin de répondre aux besoins des demandeurs. Les contraintes et lenteurs administratives d‘autrefois ont été allégées au profit des citoyens afin d‘en bénéficier davantage. Mais sur le terrain, ces allègement peinent à se traduire et le citoyen se trouve confronté à de sérieuses difficultés notamment financières qui le dissuadent à construire sa maison. La wilaya de Boumerdès a bénéficié de 2.000 aides dont 491 demandeurs ont reçu la troisième tranche de l‘aide. 1.347 ont, selon nos informations, reçu la première tranche et 9.018 la deuxième tranche. Par contre, cette région du pays a bénéficié, lors du lancement de ce programme en 2005, de 5.000 aides puis de 326 aides dans le programme complémentaire de l‘année 2007-2008. Une simple lecture nous renseigne de la régression de l‘aide octroyée cette année et la hausse de la demande par rapport à l‘ancien programme. Toutefois, l‘ancien programme a connu lui aussi des retards dû d‘une part au problème du foncier et de l‘autre au désintéressement des citoyens. Et en raison de ces contraintes, les responsables du dossier habitat rural ont dû transférer la plupart de l‘aide, selon nos informations, vers la formule LSP. Dans ce cadre, 3.326 aides ont été converties à la formule LSP. Et parmi les contraintes qui ont été soulevées par les demandeurs et même par les autorités locales, l‘on peut citer, à titre d‘exemple, le problème lié aux terres non cadastrées. Il existe dans la wilaya des communes non cadastrées, particulièrement rurales, et cela constitue un grand handicap pour établir un certificat de possession. A cela s‘ajoutent les lourdeurs financières que le demandeur doit débourser avant même l‘entame des travaux de construction de la bâtisse. « Cela fait un mois que je cours derrière un expert foncier pour entamer les démarches de certificat de possession, en vain », se plaint un citoyen d‘Issers. Et d‘ajouter : « Il existe beaucoup de contraintes car je dois me déplacer vers toutes les parties et les institutions en charge de l‘aide à l‘auto-construction, comme l‘APC et la daïra ». Par ailleurs, l‘on déplore la mauvaise répartition de cette aide où il n‘est pas prévu les caractéristiques surtout géographiques des différentes localités de la wilaya. Par exemple, la commune de Béni Amrane, à l‘est du chef-lieu, a bénéficié de 82 aides alors qu‘il est enregistré un un enthousiasme certain pour cette formule. Afir, une localité à vocation rurale, n‘a bénéficié que d‘un maigre quota ne dépassant pas les 70 aides. Pourtant, dans ces communes pré citées, parfois, le nombre de demandes devance le quota alloué. Il existe des communes qui ont bénéficié d‘importants quotas alors que le taux de réalisation est faible. C‘est l‘exemple de la localité de Ammal, relevant de la daïra de Thénia, qui a, à elle seule, bénéficiée de 224 aides alors que le taux de consommation ne dépasse pas 96 aides. Dans d‘autres localités, à savoir Bordj Ménaïel, Kherrouba, Hammadi ou Zemmouri, le taux de consommation des quotas accordés ne dépasse pas les 10 %. L‘objectif principal du programme d‘aide à l‘habitat rural est de diminuer l‘exode rural, un objectif qui s‘avère loin d‘être atteint. Cependant, le recours des responsables dudit dossier à d‘autres formules et modalités d‘octroi d‘aide à l‘habitat rural, semble ne pas apporter ses fruits, car, où l‘on se rend à travers les localités de la wilaya, le programme connaît d‘énormes retards et ne suscite plus l‘engouement des populations. Un constat que partagent beaucoup de citoyens. Malgré les prérogatives administratives des élus locaux, notamment les P/APC, pour délivrer des certificats de possession aux citoyens désireux de construire une maison dans le cadre de l‘aide à l‘auto-construction, le programme de l‘habitat rural dans la wilaya de Boumerdès est loin de répondre aux besoins des demandeurs. Les contraintes et lenteurs administratives d‘autrefois ont été allégées au profit des citoyens afin d‘en bénéficier davantage. Mais sur le terrain, ces allègement peinent à se traduire et le citoyen se trouve confronté à de sérieuses difficultés notamment financières qui le dissuadent à construire sa maison. La wilaya de Boumerdès a bénéficié de 2.000 aides dont 491 demandeurs ont reçu la troisième tranche de l‘aide. 1.347 ont, selon nos informations, reçu la première tranche et 9.018 la deuxième tranche. Par contre, cette région du pays a bénéficié, lors du lancement de ce programme en 2005, de 5.000 aides puis de 326 aides dans le programme complémentaire de l‘année 2007-2008. Une simple lecture nous renseigne de la régression de l‘aide octroyée cette année et la hausse de la demande par rapport à l‘ancien programme. Toutefois, l‘ancien programme a connu lui aussi des retards dû d‘une part au problème du foncier et de l‘autre au désintéressement des citoyens. Et en raison de ces contraintes, les responsables du dossier habitat rural ont dû transférer la plupart de l‘aide, selon nos informations, vers la formule LSP. Dans ce cadre, 3.326 aides ont été converties à la formule LSP. Et parmi les contraintes qui ont été soulevées par les demandeurs et même par les autorités locales, l‘on peut citer, à titre d‘exemple, le problème lié aux terres non cadastrées. Il existe dans la wilaya des communes non cadastrées, particulièrement rurales, et cela constitue un grand handicap pour établir un certificat de possession. A cela s‘ajoutent les lourdeurs financières que le demandeur doit débourser avant même l‘entame des travaux de construction de la bâtisse. « Cela fait un mois que je cours derrière un expert foncier pour entamer les démarches de certificat de possession, en vain », se plaint un citoyen d‘Issers. Et d‘ajouter : « Il existe beaucoup de contraintes car je dois me déplacer vers toutes les parties et les institutions en charge de l‘aide à l‘auto-construction, comme l‘APC et la daïra ». Par ailleurs, l‘on déplore la mauvaise répartition de cette aide où il n‘est pas prévu les caractéristiques surtout géographiques des différentes localités de la wilaya. Par exemple, la commune de Béni Amrane, à l‘est du chef-lieu, a bénéficié de 82 aides alors qu‘il est enregistré un un enthousiasme certain pour cette formule. Afir, une localité à vocation rurale, n‘a bénéficié que d‘un maigre quota ne dépassant pas les 70 aides. Pourtant, dans ces communes pré citées, parfois, le nombre de demandes devance le quota alloué. Il existe des communes qui ont bénéficié d‘importants quotas alors que le taux de réalisation est faible. C‘est l‘exemple de la localité de Ammal, relevant de la daïra de Thénia, qui a, à elle seule, bénéficiée de 224 aides alors que le taux de consommation ne dépasse pas 96 aides. Dans d‘autres localités, à savoir Bordj Ménaïel, Kherrouba, Hammadi ou Zemmouri, le taux de consommation des quotas accordés ne dépasse pas les 10 %. L‘objectif principal du programme d‘aide à l‘habitat rural est de diminuer l‘exode rural, un objectif qui s‘avère loin d‘être atteint. Cependant, le recours des responsables dudit dossier à d‘autres formules et modalités d‘octroi d‘aide à l‘habitat rural, semble ne pas apporter ses fruits, car, où l‘on se rend à travers les localités de la wilaya, le programme connaît d‘énormes retards et ne suscite plus l‘engouement des populations. Un constat que partagent beaucoup de citoyens.