Les représentants de différents villages ont dénoncé, devant les autorités de la wilaya, les lourdeurs dans l'obtention de certificats de possession pour ceux qui n'ont toujours pas régularisé la situation de leurs terrains. Les représentants de différents villages ont dénoncé, devant les autorités de la wilaya, les lourdeurs dans l'obtention de certificats de possession pour ceux qui n'ont toujours pas régularisé la situation de leurs terrains. La commune de Chabet El-Ameur, à l'est de Boumerdès, se taillera la part du lion du programme de l'habitat rural. C'est ce qu'a déclaré le chef du cabinet de la wilaya de Boumerdès, lors d'une réunion tenue avec les comités de villages de cette localité au siège de la wilaya, mercredi dernier. Les représentants de différents villages ont dénoncé, devant les autorités de la wilaya, les lourdeurs particulièrement administratives dans la constitution du dossier FONAL. Parmi les lenteurs, l'on peut citer les procédures d'obtention de certificat de possession pour ceux qui n'ont toujours pas régularisé la situation de leurs terrains. Le directeur du Cadastre de Boumerdès, qui a pris part à cette réunion, a tenu à étaler les procédures légales pour qu'un éventuel demandeur d'aide à l'auto-construction puisse avoir son aide. Il a expliqué que le grand handicap dans cette procédure, c'est bien les assiettes de terrains cadastrées et non connues. Malgré cela, ce responsable a appelé les représentants de villages à manifester et à se présenter à la direction du Cadastre afin de régulariser tous ceux qui désirent bénéficier de cette aide. Le directeur des forêts, quant à lui, a dit aux présents que Chabet El-Ameur aura la part du lion du programme FONAL. Il a précisé que ledit programme est illimité, donc pas de quota à respecter, pourvu que les dossiers des demandeurs soient complets. Toutefois, ces lourdeurs administratives, comme l'a indiqué un représentant, ont été imputées au déficit en communication qui gangrène de plus en plus l'administration. «Le citoyen lambda se trouve à chaque occasion victime des retards dus particulièrement à l'absence d'interlocuteur fiable», nous dira un délégué de ladite localité. Auparavant, cette localité à vocation rurale a bénéficié d'un quota de 143 aides, ce qui était insuffisant eu égard au nombre croissant de demandeurs. Sur le terrain, un nombre infime de projets sont réalisés et d'autres piétinent à ce jour. Par ailleurs, la réunion s'est achevée par une lecture du plan de proximité et de développement rural intégré, dont la localité a été inscrite dans le quinquinal 2010-2014. Cette localité, faut-il le rappeler, n'a jamais bénéficié de ce programme destiné aux zones rurales en raison de son classement urbain par les autorités compétentes. T. O. La commune de Chabet El-Ameur, à l'est de Boumerdès, se taillera la part du lion du programme de l'habitat rural. C'est ce qu'a déclaré le chef du cabinet de la wilaya de Boumerdès, lors d'une réunion tenue avec les comités de villages de cette localité au siège de la wilaya, mercredi dernier. Les représentants de différents villages ont dénoncé, devant les autorités de la wilaya, les lourdeurs particulièrement administratives dans la constitution du dossier FONAL. Parmi les lenteurs, l'on peut citer les procédures d'obtention de certificat de possession pour ceux qui n'ont toujours pas régularisé la situation de leurs terrains. Le directeur du Cadastre de Boumerdès, qui a pris part à cette réunion, a tenu à étaler les procédures légales pour qu'un éventuel demandeur d'aide à l'auto-construction puisse avoir son aide. Il a expliqué que le grand handicap dans cette procédure, c'est bien les assiettes de terrains cadastrées et non connues. Malgré cela, ce responsable a appelé les représentants de villages à manifester et à se présenter à la direction du Cadastre afin de régulariser tous ceux qui désirent bénéficier de cette aide. Le directeur des forêts, quant à lui, a dit aux présents que Chabet El-Ameur aura la part du lion du programme FONAL. Il a précisé que ledit programme est illimité, donc pas de quota à respecter, pourvu que les dossiers des demandeurs soient complets. Toutefois, ces lourdeurs administratives, comme l'a indiqué un représentant, ont été imputées au déficit en communication qui gangrène de plus en plus l'administration. «Le citoyen lambda se trouve à chaque occasion victime des retards dus particulièrement à l'absence d'interlocuteur fiable», nous dira un délégué de ladite localité. Auparavant, cette localité à vocation rurale a bénéficié d'un quota de 143 aides, ce qui était insuffisant eu égard au nombre croissant de demandeurs. Sur le terrain, un nombre infime de projets sont réalisés et d'autres piétinent à ce jour. Par ailleurs, la réunion s'est achevée par une lecture du plan de proximité et de développement rural intégré, dont la localité a été inscrite dans le quinquinal 2010-2014. Cette localité, faut-il le rappeler, n'a jamais bénéficié de ce programme destiné aux zones rurales en raison de son classement urbain par les autorités compétentes. T. O.