Pas moins de 200 millions d'euros ont été consacrés, par les Italiens, pour leur participation à la privatisation des entreprises algériennes tandis que 10 millions d'euros d'investissements déclarés ont été comptabilisés dans l'industrie et le transport, a notamment affirmé le directeur de l'institut du commerce extérieur italien (ICE), Samuel Porsia à l'ouverture du forum d'affaires algéro-italien organisé hier à l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex). Le directeur général de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), Mohamed Chami, a déclaré lors de cette rencontre que «l'Algérie est devenue une destination naturelle et importante de l'Italie» en présence de Son Excellence Giampaolo Cantini, ambassadeur d'Italie à Alger de Mohamed Bennini, DG d'Agex, et de Marini Sergio, président de la Chambre de commerce italo-arabe et des opérateurs économiques des deux pays. Chami a mis en relief l'excellence des relations économiques et les échanges commerciaux entre l'Algérie et l'Italie qui ne cessent de s'accroître, ainsi que le partenariat positif se développant au fil des ans par le biais des rencontres d'affaires et des visites d'entrepreneurs, notamment à travers les expériences et le savoir-faire des PME créatrices de richesse et d'emplois, et qui sont nombreuses et performantes en Italie. «L'Italie est le premier partenaire économique de l'Algérie en termes de volume global des échanges commerciaux" en précisant que le partenariat stratégique liant l'Algérie et l'Italie depuis de longues années est au summum de son évolution. Chami a rappelé que la présence des opérateurs économiques transalpins et de l'ambassade et du consulat italien qui n'ont jamais fermé leurs portes en Algérie dans les moments les plus difficiles de son histoire. C'est la raison pour laquelle l'Italie est devenu un partenaire privilégié de l'Algérie où deux gazoducs lient les deux pays alors que le niveau de la coopération algéro-italienne doit se traduire, selon lui par une consolidation concrète en termes d'échanges commerciaux et d'investissements productifs italiens qui sont déjà assez importants en Algérie. Le représentant de la CACi a souligné que «l'Algérie souhaite que l'Italie nous aide à diversifier notre économie et sortir de la dépendance des hydrocarbures dans un cadre de partenariat et gagnant –gagnant afin de développer la production industrielle et se soustraire à la mono exportation des hydrocarbures (98%)». Bien que le président de la Chambre de commerce italo-arabe, Marini Sergio ait formulé des propositions aux pouvoirs publics en Algérie concernant les mesures gouvernementales relatives aux investissements afin d'attirer le maximum d'investisseurs italiens, Chami a insisté notamment sur les enjeux et les atouts du programme quinquennal de la relance économique de la période 2009-2014 et les opportunités d'investissements et de marché offertes aux opérateurs économiques. Il a exhorté les hommes d'affaires italiens et les opérateurs économiques algériens à se rapprocher pour dénicher et examiner les pistes et les créneaux des échanges commerciaux et de partenariat. Enfin, Sergio a également abordé les actions de coopération développées par la Chambre de commerce italo-arabe entre l'Italie et les pays arabes, en général, et l'Algérie en particulier. Le volume des échanges commerciaux est ainsi estimé à 27,5 milliards d'euros en 2008. Pas moins de 200 millions d'euros ont été consacrés, par les Italiens, pour leur participation à la privatisation des entreprises algériennes tandis que 10 millions d'euros d'investissements déclarés ont été comptabilisés dans l'industrie et le transport, a notamment affirmé le directeur de l'institut du commerce extérieur italien (ICE), Samuel Porsia à l'ouverture du forum d'affaires algéro-italien organisé hier à l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex). Le directeur général de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), Mohamed Chami, a déclaré lors de cette rencontre que «l'Algérie est devenue une destination naturelle et importante de l'Italie» en présence de Son Excellence Giampaolo Cantini, ambassadeur d'Italie à Alger de Mohamed Bennini, DG d'Agex, et de Marini Sergio, président de la Chambre de commerce italo-arabe et des opérateurs économiques des deux pays. Chami a mis en relief l'excellence des relations économiques et les échanges commerciaux entre l'Algérie et l'Italie qui ne cessent de s'accroître, ainsi que le partenariat positif se développant au fil des ans par le biais des rencontres d'affaires et des visites d'entrepreneurs, notamment à travers les expériences et le savoir-faire des PME créatrices de richesse et d'emplois, et qui sont nombreuses et performantes en Italie. «L'Italie est le premier partenaire économique de l'Algérie en termes de volume global des échanges commerciaux" en précisant que le partenariat stratégique liant l'Algérie et l'Italie depuis de longues années est au summum de son évolution. Chami a rappelé que la présence des opérateurs économiques transalpins et de l'ambassade et du consulat italien qui n'ont jamais fermé leurs portes en Algérie dans les moments les plus difficiles de son histoire. C'est la raison pour laquelle l'Italie est devenu un partenaire privilégié de l'Algérie où deux gazoducs lient les deux pays alors que le niveau de la coopération algéro-italienne doit se traduire, selon lui par une consolidation concrète en termes d'échanges commerciaux et d'investissements productifs italiens qui sont déjà assez importants en Algérie. Le représentant de la CACi a souligné que «l'Algérie souhaite que l'Italie nous aide à diversifier notre économie et sortir de la dépendance des hydrocarbures dans un cadre de partenariat et gagnant –gagnant afin de développer la production industrielle et se soustraire à la mono exportation des hydrocarbures (98%)». Bien que le président de la Chambre de commerce italo-arabe, Marini Sergio ait formulé des propositions aux pouvoirs publics en Algérie concernant les mesures gouvernementales relatives aux investissements afin d'attirer le maximum d'investisseurs italiens, Chami a insisté notamment sur les enjeux et les atouts du programme quinquennal de la relance économique de la période 2009-2014 et les opportunités d'investissements et de marché offertes aux opérateurs économiques. Il a exhorté les hommes d'affaires italiens et les opérateurs économiques algériens à se rapprocher pour dénicher et examiner les pistes et les créneaux des échanges commerciaux et de partenariat. Enfin, Sergio a également abordé les actions de coopération développées par la Chambre de commerce italo-arabe entre l'Italie et les pays arabes, en général, et l'Algérie en particulier. Le volume des échanges commerciaux est ainsi estimé à 27,5 milliards d'euros en 2008.