Le chantier du tramway d'Alger au niveau du carrefour d'El-Annassers (ex-Ruisseau), plus exactement à proximité du télephérique menant à la maison de la culture, est la source de multiples désagréments, dont l'insécurité n'est pas le moindre, pour les riverains et les nombreuses personnes empruntant ce passage pratiquement obligé. Le chantier a en fait réduit la chaussée à la portion congrue et en dépit de son exiguité, elle continue à recevoir les véhicules dans les deux sens. Deux véhicules arrivent difficilement à se croisert et cela ne laisse pas de contribuer à créer un bouchon monstre au niveau de ce carreffour très fréquenté. Ce qui aggrave un peu plus le danger pour les piétons, c'est incontestablement l'absence de trottoirs, l'un d'eux ayant été absorbé par le chantier alors que le second en plus d'avoir connu des extensions sauvages de la part des propiétaires de magasins est egalement largement squatté par les commerces informels, les piétons en sont réduits à prier Dieu pour les préserver d'un éventuel accident. Samedi passé la roue d'un véhicule est carrément passé sur le pied d'un piéton.La conductrice de l'auto a été littérallement coincée contre le chantier du tramway par une grosse voiture. La victime qui se trouvait sur le bas-côté a tenté d'éviter la roue de la voiture, mais en vain, étant pratiquement scotchée à la barrière de sécurité du chantier. La conductrice face aux gesticulations et à la bordée de jurons du malheureux, qui avait son pied coincé sous la roue, est restée longtemps tétanisée n'arrivant pas vraiment à saisir la gravité de la situation. De longues minutes après elle se secouera et réagira enfin, mais pour une... marche arrière qui fera repasser une seconde fois la roue sur le pied de la victime qui n'en pouvait plus de s'égosiller. Le concert de Klaxons des véhicules bloqués derrière la dame la forceront à se réveiller, elle démarrera en trombe sans demander son reste laissant sur place le monsieur endolori. Au même instant sur la file d'en face un jeune homme a été contraint de faire un véritable saut acrobatique afin d'éviter éviter les roues d'une voiture lancée à toute vitesse et qui n'a d'ailleurs même pas ralenti ou marqué une pause devant les protestations du miraculé.. Cela n'est malheureusement pas des cas isolés puisque cela est devenu le spectacle quotidien au niveau de ce passage à haut risque. Les citoyens estiment qu'il aurait été peut-être bien plus avisé de supprimer, du moins durant la période des travaux du tramway, un des sens et faire de cette rue un sens unique. Certes c'est la foire d'enpoignepour les automobilistes avec le nombre de routes et traverses condamnées justement pour les besoins de ces multiples chantiers dans la capitale, mais il est indéniable que la vie humaine n'a pas de prix et que toute décision devrait être mûrement étudiée et prise essentiellement en tenant compte de la sécurité du citoyen. Le chantier du tramway d'Alger au niveau du carrefour d'El-Annassers (ex-Ruisseau), plus exactement à proximité du télephérique menant à la maison de la culture, est la source de multiples désagréments, dont l'insécurité n'est pas le moindre, pour les riverains et les nombreuses personnes empruntant ce passage pratiquement obligé. Le chantier a en fait réduit la chaussée à la portion congrue et en dépit de son exiguité, elle continue à recevoir les véhicules dans les deux sens. Deux véhicules arrivent difficilement à se croisert et cela ne laisse pas de contribuer à créer un bouchon monstre au niveau de ce carreffour très fréquenté. Ce qui aggrave un peu plus le danger pour les piétons, c'est incontestablement l'absence de trottoirs, l'un d'eux ayant été absorbé par le chantier alors que le second en plus d'avoir connu des extensions sauvages de la part des propiétaires de magasins est egalement largement squatté par les commerces informels, les piétons en sont réduits à prier Dieu pour les préserver d'un éventuel accident. Samedi passé la roue d'un véhicule est carrément passé sur le pied d'un piéton.La conductrice de l'auto a été littérallement coincée contre le chantier du tramway par une grosse voiture. La victime qui se trouvait sur le bas-côté a tenté d'éviter la roue de la voiture, mais en vain, étant pratiquement scotchée à la barrière de sécurité du chantier. La conductrice face aux gesticulations et à la bordée de jurons du malheureux, qui avait son pied coincé sous la roue, est restée longtemps tétanisée n'arrivant pas vraiment à saisir la gravité de la situation. De longues minutes après elle se secouera et réagira enfin, mais pour une... marche arrière qui fera repasser une seconde fois la roue sur le pied de la victime qui n'en pouvait plus de s'égosiller. Le concert de Klaxons des véhicules bloqués derrière la dame la forceront à se réveiller, elle démarrera en trombe sans demander son reste laissant sur place le monsieur endolori. Au même instant sur la file d'en face un jeune homme a été contraint de faire un véritable saut acrobatique afin d'éviter éviter les roues d'une voiture lancée à toute vitesse et qui n'a d'ailleurs même pas ralenti ou marqué une pause devant les protestations du miraculé.. Cela n'est malheureusement pas des cas isolés puisque cela est devenu le spectacle quotidien au niveau de ce passage à haut risque. Les citoyens estiment qu'il aurait été peut-être bien plus avisé de supprimer, du moins durant la période des travaux du tramway, un des sens et faire de cette rue un sens unique. Certes c'est la foire d'enpoignepour les automobilistes avec le nombre de routes et traverses condamnées justement pour les besoins de ces multiples chantiers dans la capitale, mais il est indéniable que la vie humaine n'a pas de prix et que toute décision devrait être mûrement étudiée et prise essentiellement en tenant compte de la sécurité du citoyen.