Des dizaines de commerçants sont aujourd'hui ruinés suite à la fermeture de leurs commerces afin de mener à bien les travaux du tramway d'Alger. Les restaurateurs, notamment les rôtisseurs de Hussein Dey ou encore ceux de Cinq-Maisons sont aujourd'hui au chômage à cause de ces travaux qui s'éternisent. L'ensemble des maillons, constituant la la chaîne de rôtisserie au sein de la commune d'El Mohammadia ex-Cinq-Maisons et qui faisait le bonheur des Algérois, amateurs de grillades à la braise, ont fini, tous les uns après les autres à baisser les bras et à baisser rideau, depuis plus d'un ans pour les uns et quelques mois pour les autres. Ces commerçants qui avaient, selon certains d'entre eux, de bons revenus à cause de l'énorme afflux des familles vers ces deux localités connues pour leur «poulet à la braise» n'ont aujourdhui d'autre ressource que de pleurer sur leur sort et leur malchance d'avoir ouvert leurs commerces à proximité des rails du futur tramway. Des dizaines de magasins, eux aussi savent qu'ils ne verront plus jamais leurs magasins rouvrir, les employés de ces commerces, pour les plus chanceux, ont déjà proposé leurs services ailleurs, tandis que les dizaines de propriétaires, eux, attendent l'hypothétique retour des jours fastes après "l'achèvement" des travaux du projet du tramway. Il faut dire que certains commerces ont été carrément démolis pour permettre l'extension des travaux du tramway, comme le cas rôtisseurs des abattoirs d'El Annassers où près d'une trentaine de restaurants ont été tous rasés pour laisser place aux rails du tramway. Il est à noter que contrairement à ceux de Cinq-Maisons, les commerçants d'El Annassers, ont été dédommagés, même s'ils affirement que ce qu'on leur a donné est loin d'égaler la valeur réelle de leurs anciens commerces. Il est également important de noter que tous les chantiers du tramway, un peu partout à travers la capitale : Bab Ezzouar, Bachdjarrah, Bordj El-Kiffan, ont engendré des dégâts considérables autant pour les commerçants que pour les riverains qui eux dénoncent la dégradation de leurs habitations, cela sans parler des bouchons interminables, nuisance sonore et pollution due à la poussière. En fait tout le monde a hâte de voir la fin de ces travaux, qui mettront fin au calvaire du transport, mais aussi, mais aussi pour retrouver la tranquillité et la paix dans leur quotidien. C. K. Des dizaines de commerçants sont aujourd'hui ruinés suite à la fermeture de leurs commerces afin de mener à bien les travaux du tramway d'Alger. Les restaurateurs, notamment les rôtisseurs de Hussein Dey ou encore ceux de Cinq-Maisons sont aujourd'hui au chômage à cause de ces travaux qui s'éternisent. L'ensemble des maillons, constituant la la chaîne de rôtisserie au sein de la commune d'El Mohammadia ex-Cinq-Maisons et qui faisait le bonheur des Algérois, amateurs de grillades à la braise, ont fini, tous les uns après les autres à baisser les bras et à baisser rideau, depuis plus d'un ans pour les uns et quelques mois pour les autres. Ces commerçants qui avaient, selon certains d'entre eux, de bons revenus à cause de l'énorme afflux des familles vers ces deux localités connues pour leur «poulet à la braise» n'ont aujourdhui d'autre ressource que de pleurer sur leur sort et leur malchance d'avoir ouvert leurs commerces à proximité des rails du futur tramway. Des dizaines de magasins, eux aussi savent qu'ils ne verront plus jamais leurs magasins rouvrir, les employés de ces commerces, pour les plus chanceux, ont déjà proposé leurs services ailleurs, tandis que les dizaines de propriétaires, eux, attendent l'hypothétique retour des jours fastes après "l'achèvement" des travaux du projet du tramway. Il faut dire que certains commerces ont été carrément démolis pour permettre l'extension des travaux du tramway, comme le cas rôtisseurs des abattoirs d'El Annassers où près d'une trentaine de restaurants ont été tous rasés pour laisser place aux rails du tramway. Il est à noter que contrairement à ceux de Cinq-Maisons, les commerçants d'El Annassers, ont été dédommagés, même s'ils affirement que ce qu'on leur a donné est loin d'égaler la valeur réelle de leurs anciens commerces. Il est également important de noter que tous les chantiers du tramway, un peu partout à travers la capitale : Bab Ezzouar, Bachdjarrah, Bordj El-Kiffan, ont engendré des dégâts considérables autant pour les commerçants que pour les riverains qui eux dénoncent la dégradation de leurs habitations, cela sans parler des bouchons interminables, nuisance sonore et pollution due à la poussière. En fait tout le monde a hâte de voir la fin de ces travaux, qui mettront fin au calvaire du transport, mais aussi, mais aussi pour retrouver la tranquillité et la paix dans leur quotidien. C. K.