Malgré son alimentation de manière artificielle et les traitements prodigués pour éviter l'apparition d'éventuelles maladies dans le cheptel apicole, la baisse de production a été néanmoins "inévitable". Malgré son alimentation de manière artificielle et les traitements prodigués pour éviter l'apparition d'éventuelles maladies dans le cheptel apicole, la baisse de production a été néanmoins "inévitable". Selon le directeur des services agricoles, la production de miel a baissé de "manière significative" en 2009 malgré une augmentation substantielle du cheptel apicole. Cette année a été marquée par une production de 873 quintaux de miel pour 31.500 ruches contre 1.450 quintaux en 2008 pour un cheptel de l'ordre de 23.400 ruches. Cette situation était essentiellement due aux aléas climatiques caractérisés par de fortes chutes de pluie au printemps, période de la pollinisation. La longue période de stagnation des eaux de pluie qui s'est prolongée jusqu'à la moitié de l'été dernier, n'a pas permis, non plus, une floraison normale des plantes mellifères, d'où l'insuffisance de pollen en quantité et en qualité. Malgré son alimentation de manière artificielle et les traitements prodigués pour faire face à une telle situation, afin d'éviter l'apparition de maladies dans le cheptel apicole, la baisse de production a été "inévitable". Le mauvais temps persistant, durant tout le printemps, n'a pas permis aux apiculteurs d'effectuer la transhumance du cheptel pour une amélioration de la production. Depuis quatre années environ, l'apiculture a connu une véritable intégration dans le secteur de l'agriculture et dans les indices socioéconomiques, en raison de l'engouement croissant suscité par cette culture qui permet aussi d'augmenter les revenus des agriculteurs de la région. Le programme de développement de la filière apicole au niveau de cette wilaya s'articule, à l'heure actuelle, autour d'une multiplication du cheptel par la mise en place de projets de proximité de développement rural intégré (PPDRI) et de l'investissement privé qui porteront sur le redressement, le développement et la modernisation de la filière apicole. Le directeur des services agricoles a ajouté que l'abeille constitue "un facteur de production nécessaire pour l'économie locale, voire nationale", d'où l'intérêt particulier qu'il faut accorder à l'apiculture pour qu'elle devienne une activité créatrice d'emploi et de richesses. Selon le directeur des services agricoles, la production de miel a baissé de "manière significative" en 2009 malgré une augmentation substantielle du cheptel apicole. Cette année a été marquée par une production de 873 quintaux de miel pour 31.500 ruches contre 1.450 quintaux en 2008 pour un cheptel de l'ordre de 23.400 ruches. Cette situation était essentiellement due aux aléas climatiques caractérisés par de fortes chutes de pluie au printemps, période de la pollinisation. La longue période de stagnation des eaux de pluie qui s'est prolongée jusqu'à la moitié de l'été dernier, n'a pas permis, non plus, une floraison normale des plantes mellifères, d'où l'insuffisance de pollen en quantité et en qualité. Malgré son alimentation de manière artificielle et les traitements prodigués pour faire face à une telle situation, afin d'éviter l'apparition de maladies dans le cheptel apicole, la baisse de production a été "inévitable". Le mauvais temps persistant, durant tout le printemps, n'a pas permis aux apiculteurs d'effectuer la transhumance du cheptel pour une amélioration de la production. Depuis quatre années environ, l'apiculture a connu une véritable intégration dans le secteur de l'agriculture et dans les indices socioéconomiques, en raison de l'engouement croissant suscité par cette culture qui permet aussi d'augmenter les revenus des agriculteurs de la région. Le programme de développement de la filière apicole au niveau de cette wilaya s'articule, à l'heure actuelle, autour d'une multiplication du cheptel par la mise en place de projets de proximité de développement rural intégré (PPDRI) et de l'investissement privé qui porteront sur le redressement, le développement et la modernisation de la filière apicole. Le directeur des services agricoles a ajouté que l'abeille constitue "un facteur de production nécessaire pour l'économie locale, voire nationale", d'où l'intérêt particulier qu'il faut accorder à l'apiculture pour qu'elle devienne une activité créatrice d'emploi et de richesses.