L'affaire "Sedrati" n'a pas fini de faire parler d'elle. Elle soulève encore les passions des résidants de Dely-Ibrahim qui ne l'entendent pas de cette oreille et apportent leur soutien inconditionnel au "maire" élu par leurs soins en toute liberté. Brahim Sedrati, l'élu mis ainsi sur la sellette, quant à lui et après avoir déposé un recours auprès du ministère de l'Intérieur, continue à assurer ses fonctions en toute quiétude dans l'espoir que cette affaire connaisse rapidement un épilogue qui convienne aux désirs des citoyens, seuls juges en la matière. L'affaire "Sedrati" n'a pas fini de faire parler d'elle. Elle soulève encore les passions des résidants de Dely-Ibrahim qui ne l'entendent pas de cette oreille et apportent leur soutien inconditionnel au "maire" élu par leurs soins en toute liberté. Brahim Sedrati, l'élu mis ainsi sur la sellette, quant à lui et après avoir déposé un recours auprès du ministère de l'Intérieur, continue à assurer ses fonctions en toute quiétude dans l'espoir que cette affaire connaisse rapidement un épilogue qui convienne aux désirs des citoyens, seuls juges en la matière. Trois semaines se sont écoulées depuis la destitution de l'ex-président de l'assemblée populaire communale de Dely-Ibrahim, en l'occurrence Brahim Sedrati. Ce dernier avait convoqué une conférence de presse pour dénoncer la prétendue cabale menée contre lui par ses pairs et jugée illégale selon ses dires s'appuyant sur les textes régissant les assemblées élues. Contacté hier par nos soins pour connaître les suites données à cette destitution, M. Sedrati nous affirmera qu'il n'a à aucun moment cédé son siège et que sa présence est toujours effective à la tête de l'assemblée. Il nous avouera même assister à toutes les réunions de travail, ceci en sa qualité d'élu par les citoyens de sa localité. Ne dérogeant pas à sa position et à son acharnement à l'encontre du wali d'Alger et du wali délégué de la circonscription de Cheraga, qu'il accuse d'avoir appuyé cette malheureuse affaire, il maintient qu'ayant été élu par les résidants de sa localité il n'a donc pas à céder aux décisions du wali d'Alger, du moins en ce qui concerne son élection. Sur ce contexte, il nous assure que seule la justice est souveraine et a la compétence reconnue pour prononcer sa destitution de manière définitive. Pour rappel il faut préciser que les citoyens ont clairement affiché leur soutien à leur président , ils se sont déclarés entièrementsolidaires de leur maire et déplorent l'attitude, jugée négative, des autres élus siégeant à l'assemblée. L'affaire "Sedrati" est d'ailleurs ces dernières semaines le sujet d'actualité des habitants qui refusent le fait accompli et ne veulent pas que l'on remettent en cause leur choix libre et voulu. Pour l'instant M. Sedrati a déposé un recours auprès du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, demandant l'ouverture d'une enquête approfondie afin de faire toute la lumière sur cette affaire qui a beaucoup fait parler d'elle et qui continue encore à soulever les passions. Une réponse est toujours attendue, selon les lois régissant ce genre de recours, la durée d'un mois est le minimum requis pour avoir une réponse... Rappelons que M. Sedrati a été démis de ses fonctions le 12 octobre dernier. C'est le premier maire destitué à ce jour dans la capitale. Trois semaines se sont écoulées depuis la destitution de l'ex-président de l'assemblée populaire communale de Dely-Ibrahim, en l'occurrence Brahim Sedrati. Ce dernier avait convoqué une conférence de presse pour dénoncer la prétendue cabale menée contre lui par ses pairs et jugée illégale selon ses dires s'appuyant sur les textes régissant les assemblées élues. Contacté hier par nos soins pour connaître les suites données à cette destitution, M. Sedrati nous affirmera qu'il n'a à aucun moment cédé son siège et que sa présence est toujours effective à la tête de l'assemblée. Il nous avouera même assister à toutes les réunions de travail, ceci en sa qualité d'élu par les citoyens de sa localité. Ne dérogeant pas à sa position et à son acharnement à l'encontre du wali d'Alger et du wali délégué de la circonscription de Cheraga, qu'il accuse d'avoir appuyé cette malheureuse affaire, il maintient qu'ayant été élu par les résidants de sa localité il n'a donc pas à céder aux décisions du wali d'Alger, du moins en ce qui concerne son élection. Sur ce contexte, il nous assure que seule la justice est souveraine et a la compétence reconnue pour prononcer sa destitution de manière définitive. Pour rappel il faut préciser que les citoyens ont clairement affiché leur soutien à leur président , ils se sont déclarés entièrementsolidaires de leur maire et déplorent l'attitude, jugée négative, des autres élus siégeant à l'assemblée. L'affaire "Sedrati" est d'ailleurs ces dernières semaines le sujet d'actualité des habitants qui refusent le fait accompli et ne veulent pas que l'on remettent en cause leur choix libre et voulu. Pour l'instant M. Sedrati a déposé un recours auprès du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, demandant l'ouverture d'une enquête approfondie afin de faire toute la lumière sur cette affaire qui a beaucoup fait parler d'elle et qui continue encore à soulever les passions. Une réponse est toujours attendue, selon les lois régissant ce genre de recours, la durée d'un mois est le minimum requis pour avoir une réponse... Rappelons que M. Sedrati a été démis de ses fonctions le 12 octobre dernier. C'est le premier maire destitué à ce jour dans la capitale.