Les investisseurs des Emirats arabes unis ont bon espoir de pouvoir continuer à investir en Algérie malgré l'impact de la crise financière et en dépit du retrait de certains d'entre eux comme Eemar. Selon Oxford Business Group (OBG), l'Algérie continuera non seulement à être au cœur des intérêts des investisseurs émiriens mais va également entrer dans leur stratégie de diversification. OBG cite Camille Nassar, président de National Holding Algérie qui déclare que "les investisseurs émiriens considéraient de façon positive l'avenir de l'économie algérienne". Il a expliqué que " Les occasions abondent, surtout considérant l'excellent travail effectué par le gouvernement algérien en termes de développement de l'infrastructure routière et maritime, des logements sociaux, ainsi que du secteur de l'énergie ". Selon, OBG, "jusqu'au milieu de l'année 2008, le secteur de l'immobilier constituait l'attrait principal pour les investissements des sociétés émiriennes. En effet, plusieurs sociétés immobilières, dont Emaar, Al Qudra et Emirates International Investment Company (EIIC), avaient annoncé des projets de plusieurs milliards de dollars". Toutefois, "l'avènement de la crise financière a réduit l'engagement en Algérie, dans la mesure où les investisseurs émiriens ont vu les conditions de financement se resserrer dans leur propre pays, obligeant plusieurs fonds d'investissement à réduire leurs activités, voire à se retirer totalement de certains projets". Aujourd'hui, afin de mieux se protéger contre la volatilité sectorielle, les investisseurs émiriens commencent également à diversifier leurs projets en Algérie, notamment en investissant hors du secteur immobilier. Dans ce cadre National Holding a annoncé qu'elle restructurait son portfolio global en cinq grandes catégories commerciales : EIIC (investissements), Bloom (immobilier), Exeed (industrie), Rise (spéculation) et Petromal (énergie). Exeed a récemment entrepris la construction d'une usine de câbles qu'elle a appelée Cablet El Djazaïr, qui vise à fabriquer un total de 45.000 tonnes de câbles de cuivre et 7.000 tonnes de câbles d'aluminium pour le réseau électrique du pays, qui croît très rapidement. L'usine devrait être terminée dans les 18 à 24 mois. De plus, la société compte construire des fermes de production de lait à grande échelle qui produiront 100 millions de litres de lait par année et 3.000 tonnes de viande. Les entreprises émiriennes ont investi en Algérie 27,2 milliards d'euros jusque-là, selon OBG. Les investisseurs des Emirats arabes unis ont bon espoir de pouvoir continuer à investir en Algérie malgré l'impact de la crise financière et en dépit du retrait de certains d'entre eux comme Eemar. Selon Oxford Business Group (OBG), l'Algérie continuera non seulement à être au cœur des intérêts des investisseurs émiriens mais va également entrer dans leur stratégie de diversification. OBG cite Camille Nassar, président de National Holding Algérie qui déclare que "les investisseurs émiriens considéraient de façon positive l'avenir de l'économie algérienne". Il a expliqué que " Les occasions abondent, surtout considérant l'excellent travail effectué par le gouvernement algérien en termes de développement de l'infrastructure routière et maritime, des logements sociaux, ainsi que du secteur de l'énergie ". Selon, OBG, "jusqu'au milieu de l'année 2008, le secteur de l'immobilier constituait l'attrait principal pour les investissements des sociétés émiriennes. En effet, plusieurs sociétés immobilières, dont Emaar, Al Qudra et Emirates International Investment Company (EIIC), avaient annoncé des projets de plusieurs milliards de dollars". Toutefois, "l'avènement de la crise financière a réduit l'engagement en Algérie, dans la mesure où les investisseurs émiriens ont vu les conditions de financement se resserrer dans leur propre pays, obligeant plusieurs fonds d'investissement à réduire leurs activités, voire à se retirer totalement de certains projets". Aujourd'hui, afin de mieux se protéger contre la volatilité sectorielle, les investisseurs émiriens commencent également à diversifier leurs projets en Algérie, notamment en investissant hors du secteur immobilier. Dans ce cadre National Holding a annoncé qu'elle restructurait son portfolio global en cinq grandes catégories commerciales : EIIC (investissements), Bloom (immobilier), Exeed (industrie), Rise (spéculation) et Petromal (énergie). Exeed a récemment entrepris la construction d'une usine de câbles qu'elle a appelée Cablet El Djazaïr, qui vise à fabriquer un total de 45.000 tonnes de câbles de cuivre et 7.000 tonnes de câbles d'aluminium pour le réseau électrique du pays, qui croît très rapidement. L'usine devrait être terminée dans les 18 à 24 mois. De plus, la société compte construire des fermes de production de lait à grande échelle qui produiront 100 millions de litres de lait par année et 3.000 tonnes de viande. Les entreprises émiriennes ont investi en Algérie 27,2 milliards d'euros jusque-là, selon OBG.