A l'occasion du 14e salon international du livre d'Alger, Youcef Merahi a présenté lors d'une vente dédicace son dernier ouvrage «je brulerai la mer» paru aux éditions casbah. De la poésie à la prose, il n'y a qu'un pas, qu'il a franchi à travers cet ouvrage romanesque à travers lequel il raconte le quotidien de quatre jeunes algériens. Entre optimisme au détachement, des rêves tracés aux désillusions, le roman raconte la vie de quatre jeunes, quatre amis, liés par leur destin, leur destinée ou encore mieux par leur malheur. A l'image de cette jeunesse qui vit un déchirement sans précédent. Pour son préfacier, Hamid Nacer Khodja, ce livre est «une radioscopie rapide mais dense de l'Algérie de 1962 à nos jours». Pour son auteur c'est un roman « à quatre dimensions humaines». Youcef Merahi est très attaché à la poésie. Il a écrit d'ailleurs, des poèmes sur sa ville natale : Tizi Ouzou. Sa passion pour la littérature le mène à écrire d'innombrables recueils de poésie. Sur la scène médiatique, il est aussi l'auteur d'un essai sur Tahar Djaout et d'un livre de traduction des poèmes de Matoub Lounès (en collaboration avec Hamid Bilek et Abdennour Hadj Saïd). Auteur de plusieurs recueils de poésie et ouvrages, dont "digest de Kabylie" paru en 2007, et son dernier recueil, intitulé "Post-scriptum", paru aux éditions Casbah, Youcef Merahi né en 1952 à Tizi-Ouzou, porte un grand intérêt au patrimoine immatériel amazigh. Ce grand écrivain a donné régulièrement des lectures et des conférences lors de diverses manifestations culturelles en Algérie et à l'étranger. A l'occasion du 14e salon international du livre d'Alger, Youcef Merahi a présenté lors d'une vente dédicace son dernier ouvrage «je brulerai la mer» paru aux éditions casbah. De la poésie à la prose, il n'y a qu'un pas, qu'il a franchi à travers cet ouvrage romanesque à travers lequel il raconte le quotidien de quatre jeunes algériens. Entre optimisme au détachement, des rêves tracés aux désillusions, le roman raconte la vie de quatre jeunes, quatre amis, liés par leur destin, leur destinée ou encore mieux par leur malheur. A l'image de cette jeunesse qui vit un déchirement sans précédent. Pour son préfacier, Hamid Nacer Khodja, ce livre est «une radioscopie rapide mais dense de l'Algérie de 1962 à nos jours». Pour son auteur c'est un roman « à quatre dimensions humaines». Youcef Merahi est très attaché à la poésie. Il a écrit d'ailleurs, des poèmes sur sa ville natale : Tizi Ouzou. Sa passion pour la littérature le mène à écrire d'innombrables recueils de poésie. Sur la scène médiatique, il est aussi l'auteur d'un essai sur Tahar Djaout et d'un livre de traduction des poèmes de Matoub Lounès (en collaboration avec Hamid Bilek et Abdennour Hadj Saïd). Auteur de plusieurs recueils de poésie et ouvrages, dont "digest de Kabylie" paru en 2007, et son dernier recueil, intitulé "Post-scriptum", paru aux éditions Casbah, Youcef Merahi né en 1952 à Tizi-Ouzou, porte un grand intérêt au patrimoine immatériel amazigh. Ce grand écrivain a donné régulièrement des lectures et des conférences lors de diverses manifestations culturelles en Algérie et à l'étranger.