L'Aïd el-Adha se rapproche à grands pas, c'est dans l'air, déjà dans les cités les bêlements des noutons se mêle aux cris et rires des enfants. Mais pour s'en persuader un peu plus, il suffit de faire un tour dans les artères et ruelles de la capitale. On ne manquera pas alors de remarquer, que sur les nombreux étals informels, jouets, affaires scolaires et effets vestimentaires ont été remplacés ces derniers jours, par les couteaux et les haches de toutes formes et dimensions pour égorger et découper le mouton dont les enfants, entre-temps, auront fait un animal de compagnie inconscient de son futur sort. Cela sans parler de la "rurbanisation" des cités dans lesquelles les petits garçons se transforment en pâtres de fortune faisant brouter à leurs moutons les mauvaises herbes poussant entre le pierres ou les faisant paître dans les décharges et poubelles.. Dans quelques jours les couteaux sur les étals seront rejoints par les incontournables barbecues du "pauvre" (ces appareils en général sont à jeter au terme d'une seule utilisation), sans oublier les piques pour les futures grillades dont l'odeur anticipée fait saliver, à l'avance, plus d'un. Mais les plus heureux dans tout cela restent, sans conteste, ceux qui alimentent, au gré des évènements, ces étals qui contribuent à épuiser chaque jour un peu plus les maigres bourses des pères de famille. L'Aïd el-Adha se rapproche à grands pas, c'est dans l'air, déjà dans les cités les bêlements des noutons se mêle aux cris et rires des enfants. Mais pour s'en persuader un peu plus, il suffit de faire un tour dans les artères et ruelles de la capitale. On ne manquera pas alors de remarquer, que sur les nombreux étals informels, jouets, affaires scolaires et effets vestimentaires ont été remplacés ces derniers jours, par les couteaux et les haches de toutes formes et dimensions pour égorger et découper le mouton dont les enfants, entre-temps, auront fait un animal de compagnie inconscient de son futur sort. Cela sans parler de la "rurbanisation" des cités dans lesquelles les petits garçons se transforment en pâtres de fortune faisant brouter à leurs moutons les mauvaises herbes poussant entre le pierres ou les faisant paître dans les décharges et poubelles.. Dans quelques jours les couteaux sur les étals seront rejoints par les incontournables barbecues du "pauvre" (ces appareils en général sont à jeter au terme d'une seule utilisation), sans oublier les piques pour les futures grillades dont l'odeur anticipée fait saliver, à l'avance, plus d'un. Mais les plus heureux dans tout cela restent, sans conteste, ceux qui alimentent, au gré des évènements, ces étals qui contribuent à épuiser chaque jour un peu plus les maigres bourses des pères de famille.