L'absence de passerelles au niveau des nouvelles réalisations routières pénalise grandement les piétons. Cela mérite d'être signalé encore et encore, cela même si nous assistons parfois à des scènes déplorables et condamnables de citoyens traversant la route ou une voie ferrée au péril de leur vie à quelques mètres seulement d'une... passerelle. L'absence de passerelles au niveau des nouvelles réalisations routières pénalise grandement les piétons. Cela mérite d'être signalé encore et encore, cela même si nous assistons parfois à des scènes déplorables et condamnables de citoyens traversant la route ou une voie ferrée au péril de leur vie à quelques mètres seulement d'une... passerelle. La capitale connaît ces quelques dernières années la réalisation de nombreux projets d'utilité publique, certains sont achevés alors que d'autres trainent encore. Ces nombreux chantiers ont transformé Alger en un gigantesque chantier dans lequel le piéton n'a pas vraiment sa place. Aménagement urbain, rénovation de routes, réhabilitation de quartiers, nouvelles constructions, réalisation du métro et du tramway d'Alger... les autorités de la wilaya d'Alger ont élaboré un plan stratégique qui découle d'une vision globale appuyée sur deux études fondatrices, liées à la révision du Plan directeur d'aménagement et d'urbanisme de la capitale et celui de l'aménagement de la baie d'Alger. Mais les problèmes générés par ces multiples réalisations et ce plan grandiose, est le fait qu'elles tardent à être accompagnées des commodités nécessaires, pour ne pas dire obligatoires et pouvant faciliter la vie des Algérois. Alger, éternel chantier La réalisation de nouvelles routes dans plusieurs quartiers d'Alger, trémies, rond-points et croisements a foisonné ces dernières années, mais dans l' absence totale de passerelles qui auraient, pourtant, dû faire partie intégrale du plan de réalisation. C'est ce qui ressort des propos des citoyens dans la vie et l'intégrité physique sont mises en péril. Il n'y a qu'à revenir sur les comptes-rendus des tragiques et quotidiens accidents de la circulation, la plupart malheureusement mortels. On ne cessera donc jamais de le répéter, l'installation de passerelles et des trottoirs bien entretenus (et surtout libérés) permettraient d'atténuer le nombre d'accidents. Dans certains quartiers de la capitale à l'instar de Ruisseau, Hussein Dey, Ain Allah, Ben Aknoun ou encore Zéralda, l'on a déjà assisté à des drames et l'on risques de continuer à y assister chaque jour, si rien n'est fait rapidement. Les passerelles s'imposent sur les voies rapides et les grandes routes qui traversent les agglomération urbaines. L'absence de trottoirs est, de son côté, un autre grand point noir qui ne peut être négligé par les autorités locales. C'est le cas au niveau des quartiers qui accueillent les travaux du métro et ceux du tramway, les piétons sont réduits à slalomer entre les véhicules pour pouvoir traverser. Les trottoirs ayant été éliminés pour les besoins du chantier, du coup les piétons se retrouvent obligés de disputer la chaussée aux automobilistes. Paradoxe... trois passerelles pour Bachdjarah D'autres localités, toujours dans dans la capitale, ont eux par contre ce genre de commodités en abondance, au point que les habitants s'interrogent sur l'utilité de cette orgie. Cela est le cas pour les résidants de Bachdjarah, qui eux ont dans sur la même route pas moins de trois passerelles, pratiquement l'une à côté de l'autre. Pradoxalement le piétons ne les empruntent que rarement. Les habitants de ces quartiers préfèrent traverser la route, en prenant le risque de se faire heurter par un automobiliste. Les véhicules sont obligés de ralentir pour céder le passage aux piétons inconscients du danger. Est-à-dire que les doléances des citoyens ne sont que de vaines paroles en l'air, puisque devant une profusion de passerelles, ils s'entêtent à ne pas les enprunter, et se plaignent de leur absence quelques centaines de mètres plus loin ! Des passerelles et passages pour piétons au milieu de nulle part «Il nous arrive de constater la présence de passerelles, de passages piétons et de trottoirs à Alger au milieu de nulle part», autrement dit, là où personne n'a nul besoin de les utiliser, ce sont les propos d'un citoyen dans la localité de Ben Aknoun qui nous affirme avoir échappé à la mort à deux reprises en tentant de traversant l'autoroute à Ben Aknoun pour aller de l'autre côté soit à la rue Doudou-Mokhtar. Il n'est malheureusement pas le seul, car des centaines d'étudiants de l'Institut des sciences politique et de l'information, l'Institut du commerce et l'Institut national de planification et de statistiques sont obligés de le faire quotidiennements. L'incivisme des piétons dénoncé Il est vrai que le manque de ce genre de commodités cause un grand problème aux piétons dans la capitale, et est la cause d'accidents parfois mortels, mais il faut tout de même avouer que nombreux sont les citoyens qui n'accordent pas de valeur à leurs vies et négligent la présence des passerelles, des passages piétons et des trottoirs juste pour ; gagner quelques seconde en traversant une voie rapide ou même une voie ferrée au lieu d'emprunter la passerelle à quelques mètres, ou faire l'effort de se rendre jusqu'au passage réservé à cet effet. Cette indolence et cet incivisme est vivement dénoncé par les automobilistes qui déplore cet état de faits. La capitale connaît ces quelques dernières années la réalisation de nombreux projets d'utilité publique, certains sont achevés alors que d'autres trainent encore. Ces nombreux chantiers ont transformé Alger en un gigantesque chantier dans lequel le piéton n'a pas vraiment sa place. Aménagement urbain, rénovation de routes, réhabilitation de quartiers, nouvelles constructions, réalisation du métro et du tramway d'Alger... les autorités de la wilaya d'Alger ont élaboré un plan stratégique qui découle d'une vision globale appuyée sur deux études fondatrices, liées à la révision du Plan directeur d'aménagement et d'urbanisme de la capitale et celui de l'aménagement de la baie d'Alger. Mais les problèmes générés par ces multiples réalisations et ce plan grandiose, est le fait qu'elles tardent à être accompagnées des commodités nécessaires, pour ne pas dire obligatoires et pouvant faciliter la vie des Algérois. Alger, éternel chantier La réalisation de nouvelles routes dans plusieurs quartiers d'Alger, trémies, rond-points et croisements a foisonné ces dernières années, mais dans l' absence totale de passerelles qui auraient, pourtant, dû faire partie intégrale du plan de réalisation. C'est ce qui ressort des propos des citoyens dans la vie et l'intégrité physique sont mises en péril. Il n'y a qu'à revenir sur les comptes-rendus des tragiques et quotidiens accidents de la circulation, la plupart malheureusement mortels. On ne cessera donc jamais de le répéter, l'installation de passerelles et des trottoirs bien entretenus (et surtout libérés) permettraient d'atténuer le nombre d'accidents. Dans certains quartiers de la capitale à l'instar de Ruisseau, Hussein Dey, Ain Allah, Ben Aknoun ou encore Zéralda, l'on a déjà assisté à des drames et l'on risques de continuer à y assister chaque jour, si rien n'est fait rapidement. Les passerelles s'imposent sur les voies rapides et les grandes routes qui traversent les agglomération urbaines. L'absence de trottoirs est, de son côté, un autre grand point noir qui ne peut être négligé par les autorités locales. C'est le cas au niveau des quartiers qui accueillent les travaux du métro et ceux du tramway, les piétons sont réduits à slalomer entre les véhicules pour pouvoir traverser. Les trottoirs ayant été éliminés pour les besoins du chantier, du coup les piétons se retrouvent obligés de disputer la chaussée aux automobilistes. Paradoxe... trois passerelles pour Bachdjarah D'autres localités, toujours dans dans la capitale, ont eux par contre ce genre de commodités en abondance, au point que les habitants s'interrogent sur l'utilité de cette orgie. Cela est le cas pour les résidants de Bachdjarah, qui eux ont dans sur la même route pas moins de trois passerelles, pratiquement l'une à côté de l'autre. Pradoxalement le piétons ne les empruntent que rarement. Les habitants de ces quartiers préfèrent traverser la route, en prenant le risque de se faire heurter par un automobiliste. Les véhicules sont obligés de ralentir pour céder le passage aux piétons inconscients du danger. Est-à-dire que les doléances des citoyens ne sont que de vaines paroles en l'air, puisque devant une profusion de passerelles, ils s'entêtent à ne pas les enprunter, et se plaignent de leur absence quelques centaines de mètres plus loin ! Des passerelles et passages pour piétons au milieu de nulle part «Il nous arrive de constater la présence de passerelles, de passages piétons et de trottoirs à Alger au milieu de nulle part», autrement dit, là où personne n'a nul besoin de les utiliser, ce sont les propos d'un citoyen dans la localité de Ben Aknoun qui nous affirme avoir échappé à la mort à deux reprises en tentant de traversant l'autoroute à Ben Aknoun pour aller de l'autre côté soit à la rue Doudou-Mokhtar. Il n'est malheureusement pas le seul, car des centaines d'étudiants de l'Institut des sciences politique et de l'information, l'Institut du commerce et l'Institut national de planification et de statistiques sont obligés de le faire quotidiennements. L'incivisme des piétons dénoncé Il est vrai que le manque de ce genre de commodités cause un grand problème aux piétons dans la capitale, et est la cause d'accidents parfois mortels, mais il faut tout de même avouer que nombreux sont les citoyens qui n'accordent pas de valeur à leurs vies et négligent la présence des passerelles, des passages piétons et des trottoirs juste pour ; gagner quelques seconde en traversant une voie rapide ou même une voie ferrée au lieu d'emprunter la passerelle à quelques mètres, ou faire l'effort de se rendre jusqu'au passage réservé à cet effet. Cette indolence et cet incivisme est vivement dénoncé par les automobilistes qui déplore cet état de faits.