Le problème de la confiscation des armes de citoyens continue de se poser avec acuité. «Nous avons fait confiance à l'Etat, nous lui avons remis nos armes au moment où il nous les a demandées», nous dira B.M lequel continue disant : "L'Etat doit nous restituer nos fusils de chasse chèrement payés ou qu'il nous les rembourse». Pour rappel, dans les années 90, au plus fort de la décennie noire au cours de laquelle plusieurs citoyens ont payé de leur vie, plusieurs citoyens de la wilaya d'El Tarf se sont ainsi vus confisquer leurs fusils de chasse par des services de sécurité. Maintenant que le pays a quasiment retrouvé sa sérénité, des cultivateurs de la localité de Dréan située à une trentaine de kilomètres de Annaba sont montés au créneau. Ces cultivateurs dans leur majorité écrasante réclament leurs armes à feu. «Ces dernières nous serviront à lutter contre les hordes de sangliers qui ravagent chaque nuit des milliers d'hectares de nos cultures», nous affirme un jeune cultivateur. Un autre a souligné qu'à l'époque des faits, le pays avait le droit de confisquer les fusils par mesure de sécurité. "Bien que nous possédons des autorisations de port d'armes mais aujourd'hui la situation s'est nettement améliorée, il n' y a pas de raison valable pour que nos fusils restent confisqués", déplore-t-on. Un amateur de chasse nous apprend qu'il ne sait même pas où se trouve son arme déposée au niveau de la brigade de la gendarmerie. Le groupe de cultivateurs qui réclame à cors et à cris la restitution de leurs armes a envoyé aux services de sécurité des doléances qui sont restées sans écho. Nous tenons à souligner, au passage, que de nombreux fusils ont été restitués à leurs propriétaires ces derniers temps au moment où d'autres attendent toujours. Le problème de la confiscation des armes de citoyens continue de se poser avec acuité. «Nous avons fait confiance à l'Etat, nous lui avons remis nos armes au moment où il nous les a demandées», nous dira B.M lequel continue disant : "L'Etat doit nous restituer nos fusils de chasse chèrement payés ou qu'il nous les rembourse». Pour rappel, dans les années 90, au plus fort de la décennie noire au cours de laquelle plusieurs citoyens ont payé de leur vie, plusieurs citoyens de la wilaya d'El Tarf se sont ainsi vus confisquer leurs fusils de chasse par des services de sécurité. Maintenant que le pays a quasiment retrouvé sa sérénité, des cultivateurs de la localité de Dréan située à une trentaine de kilomètres de Annaba sont montés au créneau. Ces cultivateurs dans leur majorité écrasante réclament leurs armes à feu. «Ces dernières nous serviront à lutter contre les hordes de sangliers qui ravagent chaque nuit des milliers d'hectares de nos cultures», nous affirme un jeune cultivateur. Un autre a souligné qu'à l'époque des faits, le pays avait le droit de confisquer les fusils par mesure de sécurité. "Bien que nous possédons des autorisations de port d'armes mais aujourd'hui la situation s'est nettement améliorée, il n' y a pas de raison valable pour que nos fusils restent confisqués", déplore-t-on. Un amateur de chasse nous apprend qu'il ne sait même pas où se trouve son arme déposée au niveau de la brigade de la gendarmerie. Le groupe de cultivateurs qui réclame à cors et à cris la restitution de leurs armes a envoyé aux services de sécurité des doléances qui sont restées sans écho. Nous tenons à souligner, au passage, que de nombreux fusils ont été restitués à leurs propriétaires ces derniers temps au moment où d'autres attendent toujours.