Un supporter algérien est décédé, hier, dans la capitale égyptienne, le Caire. A l'heure où nous mettons sous presse l'information n'a pas encore été officiellement confirmée. Un supporter algérien est décédé, hier, dans la capitale égyptienne, le Caire. A l'heure où nous mettons sous presse l'information n'a pas encore été officiellement confirmée. Mais des sources diplomatiques ont révélé au Midi Libre que la victime, âgé de 27 ans, est originaire d'Alger. Nos sources ont indiqué que la famille de ce jeune homme, notamment son père et son frère, s'est rapprochée hier des autorités algériennes pour mettre au point les modalités de rapatriement du corps. La mort est survenue, indique-t-on encore, des suites de l'agression sur les supporters algériens à leur sortie du Cairo-Stadium par des groupes de hooligans égyptiens déchaînés. Ces agressions, qui démontrent que les autorités égyptiennes n'ont pas respecté leurs engagements écrits comme exigés par la FIFA et selon lesquels elles devaient assurer la sécurité, non seulement de l'équipe nationale algérienne, mais aussi celle des supporters algériens, auraient fait d'autres victimes. En effet, à en croire d'autres sources un autre Algérien aurait lui aussi trouvé la mort au cours de ces agressions. A ce propos, avions-nous appris, une équipe de spécialistes de la Sûreté nationale serait partie hier en direction du Caire en vue de procéder à l'identification du corps. Les Algériens ont passé, hier, une journée cauchemardesque. Tout au long de la journée, en effet, des informations contradictoires insistantes ont circulé dans tout le pays annonçant tantôt trois morts, tantôt cinq, tantôt une dizaine. Il en est de même du nombre de blessés. Autant dire que le pays était traversé, de bout en bout, par une véritable psychose. Il faut dire que les envoyés spéciaux des médias algériens au Caire ainsi que de nombreuses agences de presse ont attesté des innombrables agressions dont ont été victimes les supporters algériens à leur sortie du stade et ce en l'absence totale des forces de sécurité égyptiennes. Une affaire qui, on s'en doute, n'a pas laissé indifférents les pouvoirs publics qui suivent de près l'évolution de la situation et qui sont restés constamment à l'écoute des informations émanant du Caire. C'est ainsi que nous avons appris, hier et alors que nous mettions sous presse, que les pouvoirs publics s'apprêteraient à réagir officiellement dans la soirée. Mais des sources diplomatiques ont révélé au Midi Libre que la victime, âgé de 27 ans, est originaire d'Alger. Nos sources ont indiqué que la famille de ce jeune homme, notamment son père et son frère, s'est rapprochée hier des autorités algériennes pour mettre au point les modalités de rapatriement du corps. La mort est survenue, indique-t-on encore, des suites de l'agression sur les supporters algériens à leur sortie du Cairo-Stadium par des groupes de hooligans égyptiens déchaînés. Ces agressions, qui démontrent que les autorités égyptiennes n'ont pas respecté leurs engagements écrits comme exigés par la FIFA et selon lesquels elles devaient assurer la sécurité, non seulement de l'équipe nationale algérienne, mais aussi celle des supporters algériens, auraient fait d'autres victimes. En effet, à en croire d'autres sources un autre Algérien aurait lui aussi trouvé la mort au cours de ces agressions. A ce propos, avions-nous appris, une équipe de spécialistes de la Sûreté nationale serait partie hier en direction du Caire en vue de procéder à l'identification du corps. Les Algériens ont passé, hier, une journée cauchemardesque. Tout au long de la journée, en effet, des informations contradictoires insistantes ont circulé dans tout le pays annonçant tantôt trois morts, tantôt cinq, tantôt une dizaine. Il en est de même du nombre de blessés. Autant dire que le pays était traversé, de bout en bout, par une véritable psychose. Il faut dire que les envoyés spéciaux des médias algériens au Caire ainsi que de nombreuses agences de presse ont attesté des innombrables agressions dont ont été victimes les supporters algériens à leur sortie du stade et ce en l'absence totale des forces de sécurité égyptiennes. Une affaire qui, on s'en doute, n'a pas laissé indifférents les pouvoirs publics qui suivent de près l'évolution de la situation et qui sont restés constamment à l'écoute des informations émanant du Caire. C'est ainsi que nous avons appris, hier et alors que nous mettions sous presse, que les pouvoirs publics s'apprêteraient à réagir officiellement dans la soirée.