Toutes les six secondes, un enfant meurt de faim dans le monde. Un constat amer sur lequel se penche des experts de l'Organisation mondiale pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) pour l'éradiquer. Toutes les six secondes, un enfant meurt de faim dans le monde. Un constat amer sur lequel se penche des experts de l'Organisation mondiale pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) pour l'éradiquer. Le sort de plus d'un milliard d'affamés dans le monde est donc au centre des débats du sommet mondial sur la sécurité alimentaire, ouvert hier à Rome, avec pour principal objectif de dégager un consensus sur l'éradication de la faim à l'horizon 2025, et d'assurer les mécanismes à même de faire face aux crises alimentaires. Ils discuteront aussi sur la mise en place d'un système d'alerte précoce pour réagir aux crises alimentaires. Pour mettre en place ce système, les participants devaient se pencher aussi sur l'examen des mécanismes pour assurer un soutien à l'agriculture afin de mettre un terme aux distorsions des marchés, comme il s'efforcent de mobiliser 30 milliards de dollars par an afin de stimuler les investissements dans les infrastructures rurales. La réunion se propose d'examiner les moyens à même de trouver une solution à la faim qui s'est accentuée avec la crise économique et la hausse des prix des produits alimentaires en 2008 dans plusieurs pays du monde, augmentant de 100 millions les personnes souffrant de la faim et de la pauvreté. Les participants se penchent notamment sur la question de l'amélioration de la gouvernance mondiale de l'agriculture et de la sécurité alimentaire à travers, notamment, le renforcement du rôle des institutions en charge des questions agricoles et alimentaires et la réforme du fonctionnement du Comité sur la sécurité alimentaire. A ce sujet, le constat de la FAO est sans appel. La production agricole va devoir augmenter de 70% d'ici 2050 afin de nourrir 9 milliards d'individus. Et le secteur privé doit aussi jouer un rôle non seulement en terme d'investissement, mais aussi de savoir-faire, d'expertise, selon Jacques Diouf, directeur général de la FAO, présent au sommet. De son côté, Affirmant que l'alimentation est "un droit de base", le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, qui a ouvert les débats du sommet de la FAO, a averti que «la crise alimentaire d'aujourd'hui doit nous mettre en alerte pour demain. D'ici 2050 notre planète pourrait héberger 9,1 milliards de personnes», a-t-il mis en garde. L'objectif de l'ONU de réduire de moitié le nombre de personnes souffrant de la faim d'ici 2015 devait être réaffirmé lors du sommet. En juin 2008, les pays membres de la FAO s'étaient engagés à réduire de moitié le nombre de personnes souffrant de la faim d'ici à 2015. Depuis, ce chiffre est passé de 850 millions à 1,02 milliard. A noter que l'Algérie est représentée à ce sommet de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) par le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci et le ministre de l'Agriculture, M. Rachid Benaissa. Au total, une soixantaine de chefs d'Etat et de gouvernement africains, asiatiques, et d'Amérique Latine participent à la réunion, aux côtés de plusieurs organisations et entreprises internationales. Le sort de plus d'un milliard d'affamés dans le monde est donc au centre des débats du sommet mondial sur la sécurité alimentaire, ouvert hier à Rome, avec pour principal objectif de dégager un consensus sur l'éradication de la faim à l'horizon 2025, et d'assurer les mécanismes à même de faire face aux crises alimentaires. Ils discuteront aussi sur la mise en place d'un système d'alerte précoce pour réagir aux crises alimentaires. Pour mettre en place ce système, les participants devaient se pencher aussi sur l'examen des mécanismes pour assurer un soutien à l'agriculture afin de mettre un terme aux distorsions des marchés, comme il s'efforcent de mobiliser 30 milliards de dollars par an afin de stimuler les investissements dans les infrastructures rurales. La réunion se propose d'examiner les moyens à même de trouver une solution à la faim qui s'est accentuée avec la crise économique et la hausse des prix des produits alimentaires en 2008 dans plusieurs pays du monde, augmentant de 100 millions les personnes souffrant de la faim et de la pauvreté. Les participants se penchent notamment sur la question de l'amélioration de la gouvernance mondiale de l'agriculture et de la sécurité alimentaire à travers, notamment, le renforcement du rôle des institutions en charge des questions agricoles et alimentaires et la réforme du fonctionnement du Comité sur la sécurité alimentaire. A ce sujet, le constat de la FAO est sans appel. La production agricole va devoir augmenter de 70% d'ici 2050 afin de nourrir 9 milliards d'individus. Et le secteur privé doit aussi jouer un rôle non seulement en terme d'investissement, mais aussi de savoir-faire, d'expertise, selon Jacques Diouf, directeur général de la FAO, présent au sommet. De son côté, Affirmant que l'alimentation est "un droit de base", le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, qui a ouvert les débats du sommet de la FAO, a averti que «la crise alimentaire d'aujourd'hui doit nous mettre en alerte pour demain. D'ici 2050 notre planète pourrait héberger 9,1 milliards de personnes», a-t-il mis en garde. L'objectif de l'ONU de réduire de moitié le nombre de personnes souffrant de la faim d'ici 2015 devait être réaffirmé lors du sommet. En juin 2008, les pays membres de la FAO s'étaient engagés à réduire de moitié le nombre de personnes souffrant de la faim d'ici à 2015. Depuis, ce chiffre est passé de 850 millions à 1,02 milliard. A noter que l'Algérie est représentée à ce sommet de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) par le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci et le ministre de l'Agriculture, M. Rachid Benaissa. Au total, une soixantaine de chefs d'Etat et de gouvernement africains, asiatiques, et d'Amérique Latine participent à la réunion, aux côtés de plusieurs organisations et entreprises internationales.