La capitale du Soudan s'est parée des couleurs de l'emblème national. Le vert, le blanc et le rouge sont, en effet, les couleurs les plus en vue dans les rues de Khartoum et de Oum Dourman, ancienne capitale de ce pays du temps du colonialisme. La capitale du Soudan s'est parée des couleurs de l'emblème national. Le vert, le blanc et le rouge sont, en effet, les couleurs les plus en vue dans les rues de Khartoum et de Oum Dourman, ancienne capitale de ce pays du temps du colonialisme. Nombreux sont les bus, taxis et voitures qui sont, aussi, ornés du drapeau algérien. Comme annoncé, les supporters des Verts ont tenu leur promesse. Ils sont venus par milliers pour soutenir leur équipe nationale. L'aéroport international de Khartoum grouille de monde et les avions transportant les fans arrivent à intervalles réguliers. «One, two, three viva l'Algérie» , est le refrain qu'entonne en premier les Algériens dès leur arrivée. Qu'ils viennent d'Alger, de Paris, de Londres ou d'ailleurs, c'est toujours ce refrain emblématique qui résonne dans le hall de l'aéroport. L'indéfectible amour que portent les supporters à l'équipe nationale se lit alors sur tous les visages. Et ni l'éloignement de ce pays, comparativement aux Egyptiens, ni la cherté du coût de ce voyage n'ont dissuadé les fans de venir en grand nombre ici à Khartoum. « Je suis venu de Paris moi et quatre amis via Doha car il n' y avait pas de places sur le vol direct reliant la France au Soudan», nous dira Nassim, un quinquagénaire, qui a suivi toutes les rencontres de l'EN lors de la phase qualificative. «A Paris beaucoup d'Algériens souhaitaient ardemment venir soutenir les Verts», a-t-il ajouté tout en entonnant, en compagnie de ses amis et d'autres présents dans le hall de l'hôtel où ils sont descendus des refrains à la gloire des Verts. Avant-hier soir, Khartoum n'a pas beaucoup dormi. Une grande effervescence régnait dans le camp de supporters algériens. Par petits groupes, ils sillonnaient les rues. Avec leurs trompettes et tambours ils ont créé une grande ambiance qui a plu aux Soudanais, lesquels ont fondamentalement pris partie en faveur de l'équipe nationale. La plupart sont jeunes, mais il y a aussi des personnes âgées. Tout près d'un hôtel, dans le quartier de Souk El Arabi, des jeunes Algériens, à l'aide d'une derbouka, ont fait danser les Soudanais qui ont formé un grand cercle autour de cet«orchestre» qui répandait la joie loin de ses terres. Cette image est presque la même un peu partout comme nous l'avons constaté avec d'autres confrères lorsque, avec des amis soudanais, on a fait une petite tournée nocturne dans cette grande ville qui grouille de monde jusqu'à une heure tardive de la nuit. Les supporters égyptiens se font rares et discrets. Ils étaient cependant nombreux, en début de soirée, au stade d'El Merrikh pour assister à l'ultime entraînement de leur équipe. Mais pas davantage que les Algériens qui ont participé, eux aussi, au dernier entraînement des Verts. Le stade de l'équipe de football d'El Hilal était plein de supporters algériens qui ont chaleureusement acclamé leurs idoles. Car c'est la première rencontre entre les supporters et les joueurs après les regrettables incidents du Caire. Le ton était donné par les fans qui ont promis aux joueurs et au staff technique de tenir parfaitement leur rôle de douzième homme. Hier la tension est encore montée d'un cran. Les rangs des supporters algériens prenaient un peu plus d'ampleur. Les autorités ont tenu leur promesse d'organiser un pont aérien. Et les avions en provenance d'Algérie et d'ailleurs «déversaient» ce flot de supporters sur la capitale soudanaise. Au niveau du siège de l'ambassade d'Algérie, c'est le branle- bas de combat qui, en vérité, n'a pas cessé depuis des jours déjà. Les services de l'ambassade ont, en effet, tout organisé car dès leur arrivée à l'aéroport de Khartoum les supporters sont pris en charge et acheminés vers des lieux de résidence réservés par la représentation diplomatique. Les billets d'accès au stade sont distribués aussi au niveau de l'ambassade. Les supporters sont contents, notamment ceux dépourvus de moyens. Avant quelques heures de la rencontre, la tension continuait de monter car la proximité des supporters des deux camps était très visible. Nombreux sont les bus, taxis et voitures qui sont, aussi, ornés du drapeau algérien. Comme annoncé, les supporters des Verts ont tenu leur promesse. Ils sont venus par milliers pour soutenir leur équipe nationale. L'aéroport international de Khartoum grouille de monde et les avions transportant les fans arrivent à intervalles réguliers. «One, two, three viva l'Algérie» , est le refrain qu'entonne en premier les Algériens dès leur arrivée. Qu'ils viennent d'Alger, de Paris, de Londres ou d'ailleurs, c'est toujours ce refrain emblématique qui résonne dans le hall de l'aéroport. L'indéfectible amour que portent les supporters à l'équipe nationale se lit alors sur tous les visages. Et ni l'éloignement de ce pays, comparativement aux Egyptiens, ni la cherté du coût de ce voyage n'ont dissuadé les fans de venir en grand nombre ici à Khartoum. « Je suis venu de Paris moi et quatre amis via Doha car il n' y avait pas de places sur le vol direct reliant la France au Soudan», nous dira Nassim, un quinquagénaire, qui a suivi toutes les rencontres de l'EN lors de la phase qualificative. «A Paris beaucoup d'Algériens souhaitaient ardemment venir soutenir les Verts», a-t-il ajouté tout en entonnant, en compagnie de ses amis et d'autres présents dans le hall de l'hôtel où ils sont descendus des refrains à la gloire des Verts. Avant-hier soir, Khartoum n'a pas beaucoup dormi. Une grande effervescence régnait dans le camp de supporters algériens. Par petits groupes, ils sillonnaient les rues. Avec leurs trompettes et tambours ils ont créé une grande ambiance qui a plu aux Soudanais, lesquels ont fondamentalement pris partie en faveur de l'équipe nationale. La plupart sont jeunes, mais il y a aussi des personnes âgées. Tout près d'un hôtel, dans le quartier de Souk El Arabi, des jeunes Algériens, à l'aide d'une derbouka, ont fait danser les Soudanais qui ont formé un grand cercle autour de cet«orchestre» qui répandait la joie loin de ses terres. Cette image est presque la même un peu partout comme nous l'avons constaté avec d'autres confrères lorsque, avec des amis soudanais, on a fait une petite tournée nocturne dans cette grande ville qui grouille de monde jusqu'à une heure tardive de la nuit. Les supporters égyptiens se font rares et discrets. Ils étaient cependant nombreux, en début de soirée, au stade d'El Merrikh pour assister à l'ultime entraînement de leur équipe. Mais pas davantage que les Algériens qui ont participé, eux aussi, au dernier entraînement des Verts. Le stade de l'équipe de football d'El Hilal était plein de supporters algériens qui ont chaleureusement acclamé leurs idoles. Car c'est la première rencontre entre les supporters et les joueurs après les regrettables incidents du Caire. Le ton était donné par les fans qui ont promis aux joueurs et au staff technique de tenir parfaitement leur rôle de douzième homme. Hier la tension est encore montée d'un cran. Les rangs des supporters algériens prenaient un peu plus d'ampleur. Les autorités ont tenu leur promesse d'organiser un pont aérien. Et les avions en provenance d'Algérie et d'ailleurs «déversaient» ce flot de supporters sur la capitale soudanaise. Au niveau du siège de l'ambassade d'Algérie, c'est le branle- bas de combat qui, en vérité, n'a pas cessé depuis des jours déjà. Les services de l'ambassade ont, en effet, tout organisé car dès leur arrivée à l'aéroport de Khartoum les supporters sont pris en charge et acheminés vers des lieux de résidence réservés par la représentation diplomatique. Les billets d'accès au stade sont distribués aussi au niveau de l'ambassade. Les supporters sont contents, notamment ceux dépourvus de moyens. Avant quelques heures de la rencontre, la tension continuait de monter car la proximité des supporters des deux camps était très visible.