La presse écrite est mal distribuée dans certaines localités de la wilaya de Boumerdès. Les citoyens ne comprennent toujours pas le pourquoi d'une situation qui ne cesse de s'aggraver au moment où les nouvelles technologies de l'information ne cessent d'évoluer. En effet, Cap Djenet, une ville côtière située à une quarantaine de kilomètres à l'est de Boumerdès, n'est qu'un exemple édifiant de cette situation. Les buralistes et les citoyens (lecteurs) s'indignent contre l'absence de distributeurs de presse. Ici, ce sont les buralistes qui font le déplacement à la ville de Bordj Ménaïel pour l'acquisition de journaux. «Chaque jour, je me réveille tôt le matin pour rapporter de Bordj Ménaïel les journaux», déplorera un buraliste de la ville. Conséquence, les journaux se vendent à des prix élevés. Les lecteurs déboursent chaque jour 5 DA de plus pour les quotidiens et plus de 10 DA pour les hebdomadaires. «Non seulement le journal se vend plus cher, mais des fois il s'épuise dès les premières heures de la matinée», se plaint Ahmed, un habitant de la ville. Avec ses 22 mille habitants, Cap Djenet est parmi les plus grandes agglomérations de la wilaya. «Elle possède des potentialités économiques importantes, de ce fait, elle a besoin que les gens découvrent cette ville via la presse», nous dira notre interlocuteur. Cap Djenet n'est pas la seule localité où la presse n'est pas distribuée. La commune de Chabet El Amer, au sud-est de la wilaya, est logée à la même enseigne. Les lecteurs ne savent plus à quel saint se vouer. «Heureusement que les buralistes se débrouillent», indique un habitant de cette localité. Ici, les lecteurs s'acquittent presque de la même somme que déboursent ceux de Cap Djenet. La presse écrite est mal distribuée dans certaines localités de la wilaya de Boumerdès. Les citoyens ne comprennent toujours pas le pourquoi d'une situation qui ne cesse de s'aggraver au moment où les nouvelles technologies de l'information ne cessent d'évoluer. En effet, Cap Djenet, une ville côtière située à une quarantaine de kilomètres à l'est de Boumerdès, n'est qu'un exemple édifiant de cette situation. Les buralistes et les citoyens (lecteurs) s'indignent contre l'absence de distributeurs de presse. Ici, ce sont les buralistes qui font le déplacement à la ville de Bordj Ménaïel pour l'acquisition de journaux. «Chaque jour, je me réveille tôt le matin pour rapporter de Bordj Ménaïel les journaux», déplorera un buraliste de la ville. Conséquence, les journaux se vendent à des prix élevés. Les lecteurs déboursent chaque jour 5 DA de plus pour les quotidiens et plus de 10 DA pour les hebdomadaires. «Non seulement le journal se vend plus cher, mais des fois il s'épuise dès les premières heures de la matinée», se plaint Ahmed, un habitant de la ville. Avec ses 22 mille habitants, Cap Djenet est parmi les plus grandes agglomérations de la wilaya. «Elle possède des potentialités économiques importantes, de ce fait, elle a besoin que les gens découvrent cette ville via la presse», nous dira notre interlocuteur. Cap Djenet n'est pas la seule localité où la presse n'est pas distribuée. La commune de Chabet El Amer, au sud-est de la wilaya, est logée à la même enseigne. Les lecteurs ne savent plus à quel saint se vouer. «Heureusement que les buralistes se débrouillent», indique un habitant de cette localité. Ici, les lecteurs s'acquittent presque de la même somme que déboursent ceux de Cap Djenet.