Entre 20.000DA, pour les plus petits, et 30.000DA et plus pour les gabarits acceptables, les prix des moutons flambent à quelques jours de l'Aid el Adha. Entre 20.000DA, pour les plus petits, et 30.000DA et plus pour les gabarits acceptables, les prix des moutons flambent à quelques jours de l'Aid el Adha. Il est attendu que les prix montent en flèche les jours à venir. Sur le marché, contrairement aux années précédentes, les points de vente se font rares. Pour cette année, comme pour toutes les précédentes d'ailleurs, une moyenne annuelle de 3 à 3,5 millions têtes d'ovins sera sacrifiée. Le ministère de l'Agriculture et du Développement rural tient à rassurer que la production nationale répond largement à la demande. La production nationale, ovine et bovine, enregistre une sensible augmentation, évaluée en moyenne annuelle entre 5% et 15%, due principalement à l'augmentation de la natalité conjuguée à l'amélioration des conditions sanitaires du cheptel. Laquelle amélioration est enregistrée grâce, notamment, à la couverture sanitaire assurée par la tutelle, par le biais de ses Services vétérinaires, en collaboration avec l'Institut National de la Protection des Végétaux (INPV). Pour le bon déroulement de l'opération de sacrifice, les autorités habilitées ont lancé une vaste campagne de sensibilisation pour la lutte contre le Kyste hydatique. Un appel est lancé, en ce sens, à tous les Algériens pour égorger leurs moutons dans les abattoirs, qui seront ouverts ce jour, et où un contrôle vétérinaire est gratuitement assuré. Des points de vente sont désignés dans chaque wilaya du pays, sachant qu'au niveau de chaque point est placé un vétérinaire agréé chargé du contrôle du cheptel. Au niveau local, des permanences seront ouvertes au niveau du Bureau d'hygiène communal pour contrôler le cheptel. Le ministère de l'Agriculture et du Développement rural, à travers ses services vétérinaires, a d'ailleurs lancé un appel à toutes les communes pour procéder à une vaste opération de ramassage des déchets, afin d'éviter l'apparition et la propagation de maladies. Dans le cadre du développement de la production ovine et bovine, le ministère de l'Agriculture et du Développement rural a mis en place tous les dispositifs nécessaires à même d'assurer la protection sanitaire du cheptel. Un vaste programme de prévention et de sensibilisation destinées aux éleveurs pour prémunir le bétail contre les diverses maladies est mené à longueur d'année, suivi et appuyé d'une campagne intensives de vaccination. Selon le ministère de l'Agriculture, «le cheptel ovin, évalué à 21 millions têtes, et le cheptel bovin, à 2 millions de têtes, bénéficient actuellement d'une attention particulière de la part des autorités concernées, qui optent à améliorer et développer la production de viandes rouges». On citera, à titre illustratif, le programme de prévention et de lutte contre la maladie de la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO), appelée également la Blue tongue (la langue bleue). Le ministère de l'Agriculture et du Développement rural tient à réaffirmer que cette maladie, apparue dans certaines régions du centre et du sud-ouest du pays, est totalement maîtrisée par ses services vétérinaires en collaboration avec l'INPV. Pour ce qui est de la nouvelle politique de renouveau agricole et rural, projetée dans la perspective de mise en œuvre du programme national du développement économique 2010-2014, le ministère de l'Agriculture a entamé un programme de développement de la production ovine et bovine. Celui-ci reposera notamment sur la dynamisation du programme de mise en défense des parcours steppiques, l'extension des superficies consacrées aux plantations pastorales et l'aménagement et la création de points d'eau. En sus des actions retenues en matière de développement de la production ovine et bovine, il a été décidé, pour la filière viandes rouges, la réalisation de trois abattoirs intégrés, d'envergure régionale, (El Bayadh, Djelfa et Oum El Bouaghi). Les localisations qui sont retenues visent à rapprocher ces abattoirs des régions d'élevage, sans trop les éloigner des grands centres urbains. Il est attendu que les prix montent en flèche les jours à venir. Sur le marché, contrairement aux années précédentes, les points de vente se font rares. Pour cette année, comme pour toutes les précédentes d'ailleurs, une moyenne annuelle de 3 à 3,5 millions têtes d'ovins sera sacrifiée. Le ministère de l'Agriculture et du Développement rural tient à rassurer que la production nationale répond largement à la demande. La production nationale, ovine et bovine, enregistre une sensible augmentation, évaluée en moyenne annuelle entre 5% et 15%, due principalement à l'augmentation de la natalité conjuguée à l'amélioration des conditions sanitaires du cheptel. Laquelle amélioration est enregistrée grâce, notamment, à la couverture sanitaire assurée par la tutelle, par le biais de ses Services vétérinaires, en collaboration avec l'Institut National de la Protection des Végétaux (INPV). Pour le bon déroulement de l'opération de sacrifice, les autorités habilitées ont lancé une vaste campagne de sensibilisation pour la lutte contre le Kyste hydatique. Un appel est lancé, en ce sens, à tous les Algériens pour égorger leurs moutons dans les abattoirs, qui seront ouverts ce jour, et où un contrôle vétérinaire est gratuitement assuré. Des points de vente sont désignés dans chaque wilaya du pays, sachant qu'au niveau de chaque point est placé un vétérinaire agréé chargé du contrôle du cheptel. Au niveau local, des permanences seront ouvertes au niveau du Bureau d'hygiène communal pour contrôler le cheptel. Le ministère de l'Agriculture et du Développement rural, à travers ses services vétérinaires, a d'ailleurs lancé un appel à toutes les communes pour procéder à une vaste opération de ramassage des déchets, afin d'éviter l'apparition et la propagation de maladies. Dans le cadre du développement de la production ovine et bovine, le ministère de l'Agriculture et du Développement rural a mis en place tous les dispositifs nécessaires à même d'assurer la protection sanitaire du cheptel. Un vaste programme de prévention et de sensibilisation destinées aux éleveurs pour prémunir le bétail contre les diverses maladies est mené à longueur d'année, suivi et appuyé d'une campagne intensives de vaccination. Selon le ministère de l'Agriculture, «le cheptel ovin, évalué à 21 millions têtes, et le cheptel bovin, à 2 millions de têtes, bénéficient actuellement d'une attention particulière de la part des autorités concernées, qui optent à améliorer et développer la production de viandes rouges». On citera, à titre illustratif, le programme de prévention et de lutte contre la maladie de la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO), appelée également la Blue tongue (la langue bleue). Le ministère de l'Agriculture et du Développement rural tient à réaffirmer que cette maladie, apparue dans certaines régions du centre et du sud-ouest du pays, est totalement maîtrisée par ses services vétérinaires en collaboration avec l'INPV. Pour ce qui est de la nouvelle politique de renouveau agricole et rural, projetée dans la perspective de mise en œuvre du programme national du développement économique 2010-2014, le ministère de l'Agriculture a entamé un programme de développement de la production ovine et bovine. Celui-ci reposera notamment sur la dynamisation du programme de mise en défense des parcours steppiques, l'extension des superficies consacrées aux plantations pastorales et l'aménagement et la création de points d'eau. En sus des actions retenues en matière de développement de la production ovine et bovine, il a été décidé, pour la filière viandes rouges, la réalisation de trois abattoirs intégrés, d'envergure régionale, (El Bayadh, Djelfa et Oum El Bouaghi). Les localisations qui sont retenues visent à rapprocher ces abattoirs des régions d'élevage, sans trop les éloigner des grands centres urbains.