Les dernières rencontres du ministre de l'Education nationale avec certains syndicats tendent à mener vers la fin du mouvement de grève qui dure depuis plus de quinze jours. Les dernières rencontres du ministre de l'Education nationale avec certains syndicats tendent à mener vers la fin du mouvement de grève qui dure depuis plus de quinze jours. L‘action commune des six syndicats, ayant appelé à une grève illimitée semble aller vers la dissolution. L‘Union nationale des personnels de l‘éducation et de la formation (Unpef) est le premier syndicat a annoncé, dans un communiqué publié hier, sa décision de reprendre le travail dès aujourd‘hui. Une décision qui découle d‘un bilan positif que l‘Unpef a établit à l‘issue de ses rencontres avec le ministre. C‘est d‘ailleurs le même bilan qui pousse le Snapest à tenir ses assemblées générales aujourd‘hui, dès les premières heures de la journée pour décider de la décision à prendre; c‘est ce que nous a appris hier M. Meziane Mériane, coordinateur du conseil national du Snapest. Le Cnapest, quant à lui, se décidera dimanche prochain, a annoncé au cours d‘une conférence de presse, Nouar Larbi. Concernant le dossier de la médecine de travail, Nouar Larbi a déclaré : «La tutelle a fait mine d‘ignorer ce dossier, le confondant avec les maladies du travail». Il ajoute «nous visons l‘installation d‘une commission qui va prendre en charge l‘application des articles de lois déjà existants en matière de la médecine du travail». Les points convenus avec le ministre sont : l‘application de la rétroactivité du régime indemnitaire à compter du 1er janvier 2008 et au profit de 1,6 million fonctionnaires, la finalisation des travaux des nouvelles indemnités avant le 31 décembre 2009, l‘annulation historique de la décision numéro 94/158 concernant les œuvres sociales et sa libération syndicale de l‘UGTA, la mise en place de nouveaux dispositifs d‘une médecine de travail au profit de tous les travailleurs avec le concours des ministères du Travail et celui de la Santé, et l‘annulation de toute poursuite judiciaire et des ponctions sur les salaires des travailleurs. Il demeure que pour le CLA, les points cités ci-dessus ne sont pas assez «concrets» pour démotiver le mouvement de la grève. «Nous allons continuer notre grève, car ces décisions restent floues, et nous n‘avons rien de concret concernant leurs applications», a expliqué Idir Achour, hier, dans une déclaration au Midi Libre. Pour lui «si la tutelle avait à sa disposition des chiffres ou des données effectivement favorables aux enseignants, il l‘aurait dit». «La poursuite de la grève est un choix du CLA mais aussi du CNEC et du SATEF», a-t-il conclu. Benbouzid s'engage à tenir ses promesses Suite aux entretiens que les trois syndicats de l'éducation, à savoir, le Cnapest, le Snapest et l'Unpef ont eu avec le ministre, ce dernier a affirmé dans un communiqué rendu public hier que sa partie s'est engagée à prendre en charge les revendications des syndicats. Tout en invitant les enseignants à rejoindre les écoles dès aujourd'hui, le ministre assure qu'il va prendre des mesures pour dispenser des cours de rattrapage au profit des élèves, alors qu'un emploi du temps sera établi dès la semaine prochaine à cette fin. Les points entendus entre la tutelle et la partie syndicale sont le dossier du régime indemnitaire, celui des œuvres sociales et celui de la médecine du travail. L‘action commune des six syndicats, ayant appelé à une grève illimitée semble aller vers la dissolution. L‘Union nationale des personnels de l‘éducation et de la formation (Unpef) est le premier syndicat a annoncé, dans un communiqué publié hier, sa décision de reprendre le travail dès aujourd‘hui. Une décision qui découle d‘un bilan positif que l‘Unpef a établit à l‘issue de ses rencontres avec le ministre. C‘est d‘ailleurs le même bilan qui pousse le Snapest à tenir ses assemblées générales aujourd‘hui, dès les premières heures de la journée pour décider de la décision à prendre; c‘est ce que nous a appris hier M. Meziane Mériane, coordinateur du conseil national du Snapest. Le Cnapest, quant à lui, se décidera dimanche prochain, a annoncé au cours d‘une conférence de presse, Nouar Larbi. Concernant le dossier de la médecine de travail, Nouar Larbi a déclaré : «La tutelle a fait mine d‘ignorer ce dossier, le confondant avec les maladies du travail». Il ajoute «nous visons l‘installation d‘une commission qui va prendre en charge l‘application des articles de lois déjà existants en matière de la médecine du travail». Les points convenus avec le ministre sont : l‘application de la rétroactivité du régime indemnitaire à compter du 1er janvier 2008 et au profit de 1,6 million fonctionnaires, la finalisation des travaux des nouvelles indemnités avant le 31 décembre 2009, l‘annulation historique de la décision numéro 94/158 concernant les œuvres sociales et sa libération syndicale de l‘UGTA, la mise en place de nouveaux dispositifs d‘une médecine de travail au profit de tous les travailleurs avec le concours des ministères du Travail et celui de la Santé, et l‘annulation de toute poursuite judiciaire et des ponctions sur les salaires des travailleurs. Il demeure que pour le CLA, les points cités ci-dessus ne sont pas assez «concrets» pour démotiver le mouvement de la grève. «Nous allons continuer notre grève, car ces décisions restent floues, et nous n‘avons rien de concret concernant leurs applications», a expliqué Idir Achour, hier, dans une déclaration au Midi Libre. Pour lui «si la tutelle avait à sa disposition des chiffres ou des données effectivement favorables aux enseignants, il l‘aurait dit». «La poursuite de la grève est un choix du CLA mais aussi du CNEC et du SATEF», a-t-il conclu. Benbouzid s'engage à tenir ses promesses Suite aux entretiens que les trois syndicats de l'éducation, à savoir, le Cnapest, le Snapest et l'Unpef ont eu avec le ministre, ce dernier a affirmé dans un communiqué rendu public hier que sa partie s'est engagée à prendre en charge les revendications des syndicats. Tout en invitant les enseignants à rejoindre les écoles dès aujourd'hui, le ministre assure qu'il va prendre des mesures pour dispenser des cours de rattrapage au profit des élèves, alors qu'un emploi du temps sera établi dès la semaine prochaine à cette fin. Les points entendus entre la tutelle et la partie syndicale sont le dossier du régime indemnitaire, celui des œuvres sociales et celui de la médecine du travail.