Pour la deuxième fois, la ville des Roses abrite les journées internationales du film court métrage sous le slogan : «Chréa : court moment de cinéma». Ces journées qui ont vu, lors de la précédente édition un afflux considérable de visiteurs et de participants, promet pour la prochaine édition une manifestation égayée et riche en programmation. Pour la deuxième fois, la ville des Roses abrite les journées internationales du film court métrage sous le slogan : «Chréa : court moment de cinéma». Ces journées qui ont vu, lors de la précédente édition un afflux considérable de visiteurs et de participants, promet pour la prochaine édition une manifestation égayée et riche en programmation. Ainsi Blida sera, une semaine durant, du 22 au 29 janvier 2010, le carrefour de la diversité cinématographique. Cette manifestation est une véritable communion sans frontière qui incitera au voyage à travers les imaginaires, le rêve et le partage des émotions d'auteurs inconnus ou méconnus d'ici et d'ailleurs. Parallèlement aux projections, des conférences et des activités pédagogiques sous forme d'ateliers de vulgarisation et d'encouragement seront organisées pour susciter et faire naître des vocations chez de jeunes auteurs en herbe. Véritable mosaïque de tous les festivals, les rétrospectives et les hommages seront au rendez- vous lors de ces rencontres. Située au pied de l'Atlas tellien, Blida a marqué sa présence lors du Festival panafricain grâce à ces journées qui avait réservé une large part de sa programmation à l'essor du cinéma africain. Les cinéphiles ont ainsi découvert des courts métrages venus du Maroc, du Burkina Faso, d'Algérie, de Tunisie, de Belgique, de Turquie, du Niger, d'Egypte, du Sénégal et du Canada. Le court métrage représente un véritable tremplin pour les jeunes réalisateurs talentueux. Il demande beaucoup moins de moyens qu'un long métrage, et c'est pour cette raison que la plupart des plus grands réalisateurs ont commencé par réaliser des courts métrages. Mais de la même manière qu'en littérature, la nouvelle est un genre qui exige de concentrer ses efforts, le court métrage impose de rassembler toutes les qualités d'un long métrage dans une durée courte. Espérons que ces journées seront institutionnalisées en festival qui deviendra d'envergure internationale. Ainsi, il pourra se donner pour but de faire découvrir au grand public le monde du film court. Peu répandu dans les circuits de distribution classique, le court métrage suscite néanmoins un intérêt certain dans les festivals spécialisés (vidéo et argentique) ainsi que sur Internet où des sites web lui sont consacrés. On les retrouve même sur les téléphones mobiles. Il faut souligner les efforts de certains distributeurs pour promouvoir le court métrage : il est de plus en plus fréquent de voir en salle des programmes constitués uniquement de courts métrages. Ce type de film profite également du développement de la télévision par câble et satellite, plusieurs chaînes achetant et diffusant régulièrement des courts métrages. Enfin, l'essor du DVD offre un nouveau support de diffusion à ces films, sous forme de suppléments ou de DVD leur étant exclusivement dédiés. Ainsi Blida sera, une semaine durant, du 22 au 29 janvier 2010, le carrefour de la diversité cinématographique. Cette manifestation est une véritable communion sans frontière qui incitera au voyage à travers les imaginaires, le rêve et le partage des émotions d'auteurs inconnus ou méconnus d'ici et d'ailleurs. Parallèlement aux projections, des conférences et des activités pédagogiques sous forme d'ateliers de vulgarisation et d'encouragement seront organisées pour susciter et faire naître des vocations chez de jeunes auteurs en herbe. Véritable mosaïque de tous les festivals, les rétrospectives et les hommages seront au rendez- vous lors de ces rencontres. Située au pied de l'Atlas tellien, Blida a marqué sa présence lors du Festival panafricain grâce à ces journées qui avait réservé une large part de sa programmation à l'essor du cinéma africain. Les cinéphiles ont ainsi découvert des courts métrages venus du Maroc, du Burkina Faso, d'Algérie, de Tunisie, de Belgique, de Turquie, du Niger, d'Egypte, du Sénégal et du Canada. Le court métrage représente un véritable tremplin pour les jeunes réalisateurs talentueux. Il demande beaucoup moins de moyens qu'un long métrage, et c'est pour cette raison que la plupart des plus grands réalisateurs ont commencé par réaliser des courts métrages. Mais de la même manière qu'en littérature, la nouvelle est un genre qui exige de concentrer ses efforts, le court métrage impose de rassembler toutes les qualités d'un long métrage dans une durée courte. Espérons que ces journées seront institutionnalisées en festival qui deviendra d'envergure internationale. Ainsi, il pourra se donner pour but de faire découvrir au grand public le monde du film court. Peu répandu dans les circuits de distribution classique, le court métrage suscite néanmoins un intérêt certain dans les festivals spécialisés (vidéo et argentique) ainsi que sur Internet où des sites web lui sont consacrés. On les retrouve même sur les téléphones mobiles. Il faut souligner les efforts de certains distributeurs pour promouvoir le court métrage : il est de plus en plus fréquent de voir en salle des programmes constitués uniquement de courts métrages. Ce type de film profite également du développement de la télévision par câble et satellite, plusieurs chaînes achetant et diffusant régulièrement des courts métrages. Enfin, l'essor du DVD offre un nouveau support de diffusion à ces films, sous forme de suppléments ou de DVD leur étant exclusivement dédiés.