Siégeant en sa troisième session pour l'année en cours, le tribunal criminel près la cour de Béjaïa a condamné, samedi dernier, le dénommé Moussi Mohamed, alias Nouh Abou El-Akawaâ, "ex-émir" de la Seriat de Tifra (Sidi-Aïch), à la peine capitale, tandis que son acolyte, Guelmi Saddek, connu sous le sobriquet d'Abou Ishak, infirmier du groupe terroriste écumant le vaste massif forestier de l'Akfadou, a écopé de la peine à perpétuité. Les deux sanguinaires de l'ex-GSPC, qui ont à leur passif plusieurs attentats et actes terroristes, ont été poursuivis pour les chefs d'accusation d'«appartenance à un groupe terroriste», «atteinte à l'ordre public», «enlèvement d'un député», «attentats et embuscades ayant entraîné plusieurs morts»… Lors de leur audition, aussi bien par les services de sécurité que par le président du tribunal criminel, les deux acolytes n'ont pas hésité à passer aux aveux, avouant être responsables de nombreux actes terroristes, dont des rapts et des embuscades. Selon leurs affirmations, ils envisageaient de perpétrer un attentat à la voiture piégée au centre-ville de Béjaïa, ainsi que d'autres actes terroristes (incursions dans des bars, enlèvements, faux-barrages…). Siégeant en sa troisième session pour l'année en cours, le tribunal criminel près la cour de Béjaïa a condamné, samedi dernier, le dénommé Moussi Mohamed, alias Nouh Abou El-Akawaâ, "ex-émir" de la Seriat de Tifra (Sidi-Aïch), à la peine capitale, tandis que son acolyte, Guelmi Saddek, connu sous le sobriquet d'Abou Ishak, infirmier du groupe terroriste écumant le vaste massif forestier de l'Akfadou, a écopé de la peine à perpétuité. Les deux sanguinaires de l'ex-GSPC, qui ont à leur passif plusieurs attentats et actes terroristes, ont été poursuivis pour les chefs d'accusation d'«appartenance à un groupe terroriste», «atteinte à l'ordre public», «enlèvement d'un député», «attentats et embuscades ayant entraîné plusieurs morts»… Lors de leur audition, aussi bien par les services de sécurité que par le président du tribunal criminel, les deux acolytes n'ont pas hésité à passer aux aveux, avouant être responsables de nombreux actes terroristes, dont des rapts et des embuscades. Selon leurs affirmations, ils envisageaient de perpétrer un attentat à la voiture piégée au centre-ville de Béjaïa, ainsi que d'autres actes terroristes (incursions dans des bars, enlèvements, faux-barrages…).