Le responsable religieux iranien Ahmad Khatami a dénoncé, hier, l'adoption, la veille, par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), d'une résolution qui condamne l'Iran pour son programme nucléaire controversé, en dépit des assurances de Téhéran quant au caractère civil de ses activités d'enrichissement d'uranium. Le responsable religieux iranien Ahmad Khatami a dénoncé, hier, l'adoption, la veille, par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), d'une résolution qui condamne l'Iran pour son programme nucléaire controversé, en dépit des assurances de Téhéran quant au caractère civil de ses activités d'enrichissement d'uranium. Cette résolution est "d'une nature complètement politique et non technique", a déclaré Ahmad Khatami, à l'adresse de l'AIEA, lors de la prière à l'Université de Téhéran pour l'Aïd El-Adha. «Bien sûr, l'Iran aura d'autres options", a-t-il ajouté sans spécifier lesquelles. Le responsable religieux a également indiqué que l'Iran produirait lui-même le combustible nucléaire nécessaire au fonctionnement de son réacteur de recherche si la communauté internationale ne lui en procure pas. «C'est votre obligation, légale, de fournir du combustible pour le réacteur de Téhéran", a affirmé Ahmad Khatami. "Si vous l'aviez fait, l'affaire serait terminée", a-t-il ajouté. "Si vous ne coopérez pas, vous devez savoir que cette nation (...) qui a obtenu ses droits à la technologie fournira aussi du combustible pour son réacteur. C'est légal et c'est en accord avec les garanties internationales". Le conseil des gouverneurs de l'AIEA a condamné vendredi l'Iran pour son programme nucléaire demandant la "suspension" de la construction d'un nouveau site nucléaire près de la ville de Qom (centre), dans une résolution adoptée par 25 pays membres (sur 35). Trois pays ont voté contre et six se sont abstenus. Cette résolution, présentée par les cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine) et l'Allemagne, va passer devant l'organe sécuritaire onusien pour d'éventuelles sanctions contre Téhéran. L'AIEA demande aussi à l'Iran de fournir des informations sur les objectifs du site et son calendrier de réalisation. Les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) ne cessent d'accuser l'Iran de chercher à développer des activités nucléaires qui pourraient lui servir à obtenir l'arme nucléaire en dépit des assurances de Téhéran sur le caractère purement civil de son programme nucléaire. Cette résolution est "d'une nature complètement politique et non technique", a déclaré Ahmad Khatami, à l'adresse de l'AIEA, lors de la prière à l'Université de Téhéran pour l'Aïd El-Adha. «Bien sûr, l'Iran aura d'autres options", a-t-il ajouté sans spécifier lesquelles. Le responsable religieux a également indiqué que l'Iran produirait lui-même le combustible nucléaire nécessaire au fonctionnement de son réacteur de recherche si la communauté internationale ne lui en procure pas. «C'est votre obligation, légale, de fournir du combustible pour le réacteur de Téhéran", a affirmé Ahmad Khatami. "Si vous l'aviez fait, l'affaire serait terminée", a-t-il ajouté. "Si vous ne coopérez pas, vous devez savoir que cette nation (...) qui a obtenu ses droits à la technologie fournira aussi du combustible pour son réacteur. C'est légal et c'est en accord avec les garanties internationales". Le conseil des gouverneurs de l'AIEA a condamné vendredi l'Iran pour son programme nucléaire demandant la "suspension" de la construction d'un nouveau site nucléaire près de la ville de Qom (centre), dans une résolution adoptée par 25 pays membres (sur 35). Trois pays ont voté contre et six se sont abstenus. Cette résolution, présentée par les cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine) et l'Allemagne, va passer devant l'organe sécuritaire onusien pour d'éventuelles sanctions contre Téhéran. L'AIEA demande aussi à l'Iran de fournir des informations sur les objectifs du site et son calendrier de réalisation. Les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) ne cessent d'accuser l'Iran de chercher à développer des activités nucléaires qui pourraient lui servir à obtenir l'arme nucléaire en dépit des assurances de Téhéran sur le caractère purement civil de son programme nucléaire.