Les élèves du nouveau CEM du village Azaghar dans la localité d'Afir à l'est de Boumerdès, se sont, au cours de la matinée d'hier, rassemblés devant le siège de l'APC. Ce rassemblement avait pour but de protester et dénoncer les conditions jugées "intenables" au sein de leur CEM. Le point essentiel soulevé est, entres autres, l'absence de cantine scolaire au niveau de l'établissement. «Pour pouvoir déjeuner, on est obligés de parcourir un kilomètre avant d'accéderr arriver aux gargotes du coin», fulmine un élève. Les élèves déplorent l'absence d'hygiène au niveau de ces restaurants, ce qui constitueun danger pour leur santé. Les collégiens, en colère, réclament l'affectation de bus pour le ramassage scolaire. «Nous sommes pénalisés par l'absence de moyens de transport, comment se fait-il qu'une localité comme la nôtre ne dispose pas de pareils avantages», nous dira un parent d'élève. Et d'ajouter «nos enfants sont martyrisés par cette situation, ils parcourent énormément de kilomètres à pied chaque jour et ce en dépit du climat glacial de la région en hiver». Les lycéens de cette localité, qui ne dispose toujours pas d'un établissement secondaire, sont également frappés de plein fouet par l'absence de transport scolaire. Ces derniers sont scolarisés à Dellys, à vingtaine de kilomètres d'Afir. Les collégiens contestataires se sont dispersés dans le calme en milieu de journée en attendant la réponse de la tutelle. Les élèves du nouveau CEM du village Azaghar dans la localité d'Afir à l'est de Boumerdès, se sont, au cours de la matinée d'hier, rassemblés devant le siège de l'APC. Ce rassemblement avait pour but de protester et dénoncer les conditions jugées "intenables" au sein de leur CEM. Le point essentiel soulevé est, entres autres, l'absence de cantine scolaire au niveau de l'établissement. «Pour pouvoir déjeuner, on est obligés de parcourir un kilomètre avant d'accéderr arriver aux gargotes du coin», fulmine un élève. Les élèves déplorent l'absence d'hygiène au niveau de ces restaurants, ce qui constitueun danger pour leur santé. Les collégiens, en colère, réclament l'affectation de bus pour le ramassage scolaire. «Nous sommes pénalisés par l'absence de moyens de transport, comment se fait-il qu'une localité comme la nôtre ne dispose pas de pareils avantages», nous dira un parent d'élève. Et d'ajouter «nos enfants sont martyrisés par cette situation, ils parcourent énormément de kilomètres à pied chaque jour et ce en dépit du climat glacial de la région en hiver». Les lycéens de cette localité, qui ne dispose toujours pas d'un établissement secondaire, sont également frappés de plein fouet par l'absence de transport scolaire. Ces derniers sont scolarisés à Dellys, à vingtaine de kilomètres d'Afir. Les collégiens contestataires se sont dispersés dans le calme en milieu de journée en attendant la réponse de la tutelle.