Hiver comme été, la quartier de Sidi Yahia, attire un flot ininterrompu d'un clientèle pas comme les autres. En effet des centaines de clients, mais surtout beaucoup de curieux avides de découvrir ces lieux consacrés au luxe sous toutes ses facettes. En très peu de temps cette localité, qui il n'y a pas si longtemps était un vaste espace boisé avec de rares habitations cernant le cimetière en espaliers, a réussi à s'imposer comme le lieu incontournable du chic et du vrai luxe. Ce quartier de la capitale est ainsi devenu un exemple en matière d'investissement visant une clientèle bien ciblée, celle à la recherche des grandes marques et des restaurants gastronomiques dont la plupart ont fini par fermer leurs portes dans le reste de la capitale, pour des raisons évidentes, baisse du pouvoir d'achat, décennie noire... Rien ne prédestinait pourtant au départ cette localité à ce statut, à commencer par son positionnement loin d'être avantageux. Situé au croisement de trois localité : Bir Mourad Raïs, Saïd Hamdine et Hydra, il a su pourtant tirer fiérement son épingle du jeu. En dehors des boutiques de luxe regroupant les plus grosses marques de la planète, plusieurs restaurants proposant de la haute gastronomie ont investi avec bonheur sur les lieux. D'autres investisseurs n'ont pas tardé à les rejoindre. Il faut préciser que beaucoup de familles recherchant la tranquilité, qui ne peut être envisagée ailleurs, n'hésitent pas à se déplacer vers ces restaurants pour certaines occasions, car il faut préciser que les notes sont plutôt salées en ces lieux. Les cafétérias luxueuses sont également la destination favorite des couples en quête d'un endroit loin des bruits et pollutions de la ville. Les étrangers également n'hésitent pas à franchir les seuils de ces endroits où l'accueil et le service sont irréprochables. Sidi-Yahia a été le premier quartier de la capitale à accueillir les premières superettes, aujourd'hui ce quartier est renommé pour ses centres commerciaux très bien organisés et proposant une large gamme de produits. Hakim, excerçant en qualité de serveur dans l'un des salons de thé de Sidi Yahia, nous affirmera qu'ils recoivent, pratiquement quotidiennement, un grand nombre d'étrangers, travailleurs et touristes. Ainsi ce quartier a su allier sécurité et convivialité pour attirer et se réapproprier une certaine clientèle, certes privilégiée. Cette réussite prouve que si les moyens sont réunis entre sécurité et prestations de service les Algérois ne boudent pas un bon res ou deguster une bonne tarte dans un salon de thé à l'atmosphère feutrée invitant à la rêverie ou aux confidences. Sidi-Yahia représente ainsi un exemple de réussite, aux autres localités d'Alger de tenter de relever le défi. Rien n'empêche de faire de la capitale, en respectant un petit cachet traditionnel, un pôle d'excellence qui attirera le plus grand nombre de touristes. Hiver comme été, la quartier de Sidi Yahia, attire un flot ininterrompu d'un clientèle pas comme les autres. En effet des centaines de clients, mais surtout beaucoup de curieux avides de découvrir ces lieux consacrés au luxe sous toutes ses facettes. En très peu de temps cette localité, qui il n'y a pas si longtemps était un vaste espace boisé avec de rares habitations cernant le cimetière en espaliers, a réussi à s'imposer comme le lieu incontournable du chic et du vrai luxe. Ce quartier de la capitale est ainsi devenu un exemple en matière d'investissement visant une clientèle bien ciblée, celle à la recherche des grandes marques et des restaurants gastronomiques dont la plupart ont fini par fermer leurs portes dans le reste de la capitale, pour des raisons évidentes, baisse du pouvoir d'achat, décennie noire... Rien ne prédestinait pourtant au départ cette localité à ce statut, à commencer par son positionnement loin d'être avantageux. Situé au croisement de trois localité : Bir Mourad Raïs, Saïd Hamdine et Hydra, il a su pourtant tirer fiérement son épingle du jeu. En dehors des boutiques de luxe regroupant les plus grosses marques de la planète, plusieurs restaurants proposant de la haute gastronomie ont investi avec bonheur sur les lieux. D'autres investisseurs n'ont pas tardé à les rejoindre. Il faut préciser que beaucoup de familles recherchant la tranquilité, qui ne peut être envisagée ailleurs, n'hésitent pas à se déplacer vers ces restaurants pour certaines occasions, car il faut préciser que les notes sont plutôt salées en ces lieux. Les cafétérias luxueuses sont également la destination favorite des couples en quête d'un endroit loin des bruits et pollutions de la ville. Les étrangers également n'hésitent pas à franchir les seuils de ces endroits où l'accueil et le service sont irréprochables. Sidi-Yahia a été le premier quartier de la capitale à accueillir les premières superettes, aujourd'hui ce quartier est renommé pour ses centres commerciaux très bien organisés et proposant une large gamme de produits. Hakim, excerçant en qualité de serveur dans l'un des salons de thé de Sidi Yahia, nous affirmera qu'ils recoivent, pratiquement quotidiennement, un grand nombre d'étrangers, travailleurs et touristes. Ainsi ce quartier a su allier sécurité et convivialité pour attirer et se réapproprier une certaine clientèle, certes privilégiée. Cette réussite prouve que si les moyens sont réunis entre sécurité et prestations de service les Algérois ne boudent pas un bon res ou deguster une bonne tarte dans un salon de thé à l'atmosphère feutrée invitant à la rêverie ou aux confidences. Sidi-Yahia représente ainsi un exemple de réussite, aux autres localités d'Alger de tenter de relever le défi. Rien n'empêche de faire de la capitale, en respectant un petit cachet traditionnel, un pôle d'excellence qui attirera le plus grand nombre de touristes.