L'Afrique doit mettre en œuvre sa propre constellation satellitaire, selon Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication. Ceci dans le but d'avoir une gestion propre de ses ressources naturelles, a-t-il affirmé hier, en marge de l'ouverture de la 3e Conférence africaine sur les sciences et technologies spatiales au service du développement durable. Le ministre soulignera, entre autres, que cette constellation satellitaire africaine (ARMC), se verra concrétisée avec la coopération de quatre pays, à savoir l'Afrique du Sud, le Kenya, le Nigeria et l'Algérie. Lequel projet, sera «conduit par les agences spatiales des pays en question, qui mèneront à bien cet ambitieux projet continental». Ce projet a pour objectif de faciliter l'accès aux données spatiales pour les pays africains, réduire les effets des catastrophes naturelles, améliorer les connaissances sur les ressources naturelles et leur gestion durable et la mise en place de systèmes de collecte de données indispensables à la prévision des récoltes, a-t-il expliqué. Il permettra également la maîtrise du développement urbain et l'occupation des sols et l'appoint cartographique aux systèmes de surveillance du changement climatique. Le ministre a signifié par ailleurs, l'appréciation et la satisfaction pleine de l'Algérie, quant à la décision du bureau des affaires spatiales des Nations unies d'établir dans notre pays un bureau d'appui régional à la gestion des catastrophes et aux interventions d'urgences. Il a affirmé que cette décision mobilisera les capacités de l'Agence spatiale algérienne et la direction générale de la Protection civile, au service de la sous-région de l'Afrique du Nord et du Sahel. La création de ce bureau régional, permettra à la sous-région Afrique du Nord et Sahel d'être au courant des données satellitaires en cas de menaces de catastrophes naturelles. L'Afrique doit mettre en œuvre sa propre constellation satellitaire, selon Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication. Ceci dans le but d'avoir une gestion propre de ses ressources naturelles, a-t-il affirmé hier, en marge de l'ouverture de la 3e Conférence africaine sur les sciences et technologies spatiales au service du développement durable. Le ministre soulignera, entre autres, que cette constellation satellitaire africaine (ARMC), se verra concrétisée avec la coopération de quatre pays, à savoir l'Afrique du Sud, le Kenya, le Nigeria et l'Algérie. Lequel projet, sera «conduit par les agences spatiales des pays en question, qui mèneront à bien cet ambitieux projet continental». Ce projet a pour objectif de faciliter l'accès aux données spatiales pour les pays africains, réduire les effets des catastrophes naturelles, améliorer les connaissances sur les ressources naturelles et leur gestion durable et la mise en place de systèmes de collecte de données indispensables à la prévision des récoltes, a-t-il expliqué. Il permettra également la maîtrise du développement urbain et l'occupation des sols et l'appoint cartographique aux systèmes de surveillance du changement climatique. Le ministre a signifié par ailleurs, l'appréciation et la satisfaction pleine de l'Algérie, quant à la décision du bureau des affaires spatiales des Nations unies d'établir dans notre pays un bureau d'appui régional à la gestion des catastrophes et aux interventions d'urgences. Il a affirmé que cette décision mobilisera les capacités de l'Agence spatiale algérienne et la direction générale de la Protection civile, au service de la sous-région de l'Afrique du Nord et du Sahel. La création de ce bureau régional, permettra à la sous-région Afrique du Nord et Sahel d'être au courant des données satellitaires en cas de menaces de catastrophes naturelles.