Pour la Direction des services agricoles, la production d'olives dans la wilaya de Khenchela, où la cueillette a démarré en octobre dernier, devrait atteindre 6.000 quintaux, soit une "légère hausse" par rapport à l'année dernière. Quelque 2.000 oliviers sont redevenus productifs au cours des dernières années à la faveur des aides publiques destinées à améliorer les conditions de vie des populations des zones montagneuses et steppiques. Ces aides s'étaient traduites, notamment, par la remise, à titre gratuit, de plants d'oliviers aux paysans, la dynamisation des Projets de proximité de développement rural intégré (PPDRI) et les périmètres de mise en valeur par la concession. Un programme tracé pour la période 2008-2010 avait porté sur la création de 5.450 hectares de vergers, dont 450 retenus dans le programme des Hauts-Plateaux. Durant l'année 2008, plus de 300 hectares ont été plantés d'oliviers, dont 70 dans la seule ferme pilote Attar-Lekhmissi de la localité de Kaïs. Avant 2003, la superficie oléicole était réduite à seulement 150 hectares dans toute la wilaya de Khenchela. Les responsables de la Chambre de l'agriculture ont indiqué, de leur côté, que des efforts avaient été déployés en 2009 pour conduire les exploitants des terres à faibles rendements céréaliers à se reconvertir vers l'arboriculture (oliviers, pommiers et abricotiers), notamment dans les localités montagneuses (Bouhmama, Chélia, Yabous, Lemsara) et subarides (Khirane, Chechar, Ouldja). Les oléiculteurs des localités montagneuses du nord de la wilaya espèrent, quant à eux, la création d'un pressoir pour éviter le transport des récoltes vers les wilayas voisines, l'unique pressoir étant situé dans la localité très éloignée de Ouldja, à 120 km au sud de Khenchela. Pour la Direction des services agricoles, la production d'olives dans la wilaya de Khenchela, où la cueillette a démarré en octobre dernier, devrait atteindre 6.000 quintaux, soit une "légère hausse" par rapport à l'année dernière. Quelque 2.000 oliviers sont redevenus productifs au cours des dernières années à la faveur des aides publiques destinées à améliorer les conditions de vie des populations des zones montagneuses et steppiques. Ces aides s'étaient traduites, notamment, par la remise, à titre gratuit, de plants d'oliviers aux paysans, la dynamisation des Projets de proximité de développement rural intégré (PPDRI) et les périmètres de mise en valeur par la concession. Un programme tracé pour la période 2008-2010 avait porté sur la création de 5.450 hectares de vergers, dont 450 retenus dans le programme des Hauts-Plateaux. Durant l'année 2008, plus de 300 hectares ont été plantés d'oliviers, dont 70 dans la seule ferme pilote Attar-Lekhmissi de la localité de Kaïs. Avant 2003, la superficie oléicole était réduite à seulement 150 hectares dans toute la wilaya de Khenchela. Les responsables de la Chambre de l'agriculture ont indiqué, de leur côté, que des efforts avaient été déployés en 2009 pour conduire les exploitants des terres à faibles rendements céréaliers à se reconvertir vers l'arboriculture (oliviers, pommiers et abricotiers), notamment dans les localités montagneuses (Bouhmama, Chélia, Yabous, Lemsara) et subarides (Khirane, Chechar, Ouldja). Les oléiculteurs des localités montagneuses du nord de la wilaya espèrent, quant à eux, la création d'un pressoir pour éviter le transport des récoltes vers les wilayas voisines, l'unique pressoir étant situé dans la localité très éloignée de Ouldja, à 120 km au sud de Khenchela.