La mise en œuvre graduelle du processus de dématérialisation, selon les objectifs de l'Etat et les besoins économiques du marché, a été recommandée par les experts lors du 2e jour du séminaire sur la certification électronique tenu les mardi et mercredi derniers à Alger et organisé par l'Autorité de régulation de la poste et de la télécommunication (ARPT). La certification électronique ne doit pas être une fin en soi, mais plutôt un socle technologique dans une perspective d'édification d'une économie numérique et une société de l'information, a-t-on indiqué. Selon ces participants, la mise en place d'un cadre réglementaire est insuffisante à elle seule car ce dernier permet seulement la prévention et la répression des comportements délictueux, recommandant de cerner la sécurité sous tous ses autres aspects : technique, juridique, politique et organisationnel. Ils ont aussi exprimé le souhait de prévoir, avant le lancement de l'activité, une réglementation qui régisse l'archivage et la conservation de la valeur probante des preuves électroniques. Les spécialistes ont également proposé la mise en œuvre d'une stratégie nationale de cyber-sécurité afin de prévoir une vision globale de la cyber-sécurité à court et long termes dans l'ère de la numérisation. La nécessité de l'élaboration d'une politique et d'une méthodologie respectant les normes et standards internationaux d'audit et de contrôle et la mise en place d'une infrastructure d'accueil de l'infrastructure à clés publiques (PKI) adaptée aux normes en vigueur a été également suggérée. La mise en œuvre graduelle du processus de dématérialisation, selon les objectifs de l'Etat et les besoins économiques du marché, a été recommandée par les experts lors du 2e jour du séminaire sur la certification électronique tenu les mardi et mercredi derniers à Alger et organisé par l'Autorité de régulation de la poste et de la télécommunication (ARPT). La certification électronique ne doit pas être une fin en soi, mais plutôt un socle technologique dans une perspective d'édification d'une économie numérique et une société de l'information, a-t-on indiqué. Selon ces participants, la mise en place d'un cadre réglementaire est insuffisante à elle seule car ce dernier permet seulement la prévention et la répression des comportements délictueux, recommandant de cerner la sécurité sous tous ses autres aspects : technique, juridique, politique et organisationnel. Ils ont aussi exprimé le souhait de prévoir, avant le lancement de l'activité, une réglementation qui régisse l'archivage et la conservation de la valeur probante des preuves électroniques. Les spécialistes ont également proposé la mise en œuvre d'une stratégie nationale de cyber-sécurité afin de prévoir une vision globale de la cyber-sécurité à court et long termes dans l'ère de la numérisation. La nécessité de l'élaboration d'une politique et d'une méthodologie respectant les normes et standards internationaux d'audit et de contrôle et la mise en place d'une infrastructure d'accueil de l'infrastructure à clés publiques (PKI) adaptée aux normes en vigueur a été également suggérée.