Publiant un communiqué à l'adresse des enseignants qui semblent s'impatienter et vouloir profiter de leurs acquis dans l'immédiat, l'Union nationale des professionnels de l'éducation et de la formation (UNPEF) a convié, avant-hier, ses syndiqués à se munir de patience vu que «la mise en application de ces décisions suscite l'écoulement d'une certaine durée dès lors qu' il y a utilité de préparer des décrets ministériels exécutifs. De plus, cette opération est inéluctablement influencée par la loi de finances 2010 et ce qu'elle entraîne comme procédures juridique», peut on lire dans ce communiqué. Cette communication faite à la fin de la première journée des travaux des commissions mixtes établies en ministère de l'Education et syndicats du même secteur, vient démentir certaines voix qui scandent l'échec de la rencontre. L'installation de ces commissions qui est le fruit d'une grève ouverte de trois semaines qui a paralysé le secteur de l'éducation et impliqué six syndicats dans une action commune, vise à débattre des modalités d'application de trois revendications principales pour les enseignants des trois cycles, à savoir le régime indemnitaire, les services sociaux et la médecine du travail. D'ailleurs l'UNPEF se félicite en tant qu'acteur dans la précédente grève, non sans impact sur la scolarisation des enfants et aussi sur le combat revendicatif des enseignants, de l'abrogation de la directive du Premier ministre et le recours à l'application du décret 304/07 qui assure le droit aux indemnités à effet rétroactif à partir du premier janvier 2008 ainsi que la non ponction sur les salaires et l'annulation de toutes punitions et poursuites administratives contre les enseignants grévistes. Six syndicats du secteur sont parties prenantes dans ces commissions. Il y a lieu de souligner, entre autres, l'institution de trois commissions mixtes entre l'UNPEF et le conseil national autonome des professeurs et des enseignants du secondaire et du technique (Cnapest) et des représentants du ministère de l'Education nationale avec l'assistance de représentants des ministères du Travail et de la Sécurité sociale, celui des Finances, et celui de la santé, en plus de la direction de la Fonction publique. «La fin des travaux est prévue pour le 25 du mois en cours, de manière à ce que le travail de ces commissions soit couronné par un procès verbal. Ce dernier sera signé par toutes les parties prenantes pour établir une mouture finale entre les deux syndicats. Celle là sera transférée en commission ad hoc laquelle à son tour va donner naissance à un décret», est inscrit dans le même document. Publiant un communiqué à l'adresse des enseignants qui semblent s'impatienter et vouloir profiter de leurs acquis dans l'immédiat, l'Union nationale des professionnels de l'éducation et de la formation (UNPEF) a convié, avant-hier, ses syndiqués à se munir de patience vu que «la mise en application de ces décisions suscite l'écoulement d'une certaine durée dès lors qu' il y a utilité de préparer des décrets ministériels exécutifs. De plus, cette opération est inéluctablement influencée par la loi de finances 2010 et ce qu'elle entraîne comme procédures juridique», peut on lire dans ce communiqué. Cette communication faite à la fin de la première journée des travaux des commissions mixtes établies en ministère de l'Education et syndicats du même secteur, vient démentir certaines voix qui scandent l'échec de la rencontre. L'installation de ces commissions qui est le fruit d'une grève ouverte de trois semaines qui a paralysé le secteur de l'éducation et impliqué six syndicats dans une action commune, vise à débattre des modalités d'application de trois revendications principales pour les enseignants des trois cycles, à savoir le régime indemnitaire, les services sociaux et la médecine du travail. D'ailleurs l'UNPEF se félicite en tant qu'acteur dans la précédente grève, non sans impact sur la scolarisation des enfants et aussi sur le combat revendicatif des enseignants, de l'abrogation de la directive du Premier ministre et le recours à l'application du décret 304/07 qui assure le droit aux indemnités à effet rétroactif à partir du premier janvier 2008 ainsi que la non ponction sur les salaires et l'annulation de toutes punitions et poursuites administratives contre les enseignants grévistes. Six syndicats du secteur sont parties prenantes dans ces commissions. Il y a lieu de souligner, entre autres, l'institution de trois commissions mixtes entre l'UNPEF et le conseil national autonome des professeurs et des enseignants du secondaire et du technique (Cnapest) et des représentants du ministère de l'Education nationale avec l'assistance de représentants des ministères du Travail et de la Sécurité sociale, celui des Finances, et celui de la santé, en plus de la direction de la Fonction publique. «La fin des travaux est prévue pour le 25 du mois en cours, de manière à ce que le travail de ces commissions soit couronné par un procès verbal. Ce dernier sera signé par toutes les parties prenantes pour établir une mouture finale entre les deux syndicats. Celle là sera transférée en commission ad hoc laquelle à son tour va donner naissance à un décret», est inscrit dans le même document.