Le président de la République sahraouie Mohamed Abdelaziz, suite au retour d'Aminatou Haïder auprès des siens, a tenu à féliciter la militante pour «son courage, sa détermination et son attachement au droit et à la résistance pacifique et légitime ainsi que pour les épreuves endurées en dépit de son état de santé affaibli par des années de détention». Il a de ce fait, évoqué son souhait, à l'Agence de presse sahraoui (SPS), que «le retour de Aminatou Haïder à El Ayoun occupée constituera le début de l'arrêt immédiat des arrestations, des jugements sommaires et des condamnations injustes à l'encontre des citoyens, des militants et des étudiants sahraouis au Sahara occidental occupé, dans le sud du Maroc et dans les universités marocaines», Le président sahraoui, a également espéré que ce retour «effectué conformément à la légalité internationale, sera l'amorce de la libération des sept militants détenus à Salé (Rabat), et la libération de tous les détenus politiques sahraouis», ainsi qu'un premier pas vers «la création urgente d'un mécanisme onusien chargé de la protection des droits de l'homme au Sahara occidental». Le président de la République sahraouie Mohamed Abdelaziz, suite au retour d'Aminatou Haïder auprès des siens, a tenu à féliciter la militante pour «son courage, sa détermination et son attachement au droit et à la résistance pacifique et légitime ainsi que pour les épreuves endurées en dépit de son état de santé affaibli par des années de détention». Il a de ce fait, évoqué son souhait, à l'Agence de presse sahraoui (SPS), que «le retour de Aminatou Haïder à El Ayoun occupée constituera le début de l'arrêt immédiat des arrestations, des jugements sommaires et des condamnations injustes à l'encontre des citoyens, des militants et des étudiants sahraouis au Sahara occidental occupé, dans le sud du Maroc et dans les universités marocaines», Le président sahraoui, a également espéré que ce retour «effectué conformément à la légalité internationale, sera l'amorce de la libération des sept militants détenus à Salé (Rabat), et la libération de tous les détenus politiques sahraouis», ainsi qu'un premier pas vers «la création urgente d'un mécanisme onusien chargé de la protection des droits de l'homme au Sahara occidental».