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Une édition en hommage à Hassan Laribi Conférence de presse de Rachid Guerbas, commissaire du Festival international de musique andalouse et des musiques anciennes
Le commissaire général du Festival International de musique andalouse et des musiques anciennes, Rachid Guerbas a animera hier samedi une conférence à la salle Frantz-Fanon de Riad El Feth dans laquelle il a présenté les grandes lignes du programme et les nouveautés de la quatrième édition du Festival qui se déroulera du 21 au 30 décembre. Le commissaire général du Festival International de musique andalouse et des musiques anciennes, Rachid Guerbas a animera hier samedi une conférence à la salle Frantz-Fanon de Riad El Feth dans laquelle il a présenté les grandes lignes du programme et les nouveautés de la quatrième édition du Festival qui se déroulera du 21 au 30 décembre. Cette nouvelle édition sera l'occasion de découvrir les différentes tonalités de l'andalou à travers le monde. De la musique perse jusqu'au rythme des musiques anciennes du Maroc et d'Espagne, les soirées concoctées cette année seront débordantes de joie et d'allégresse. Cette 4e édition sera un véritable hommage à l'encyclopédie de la musique arabe, le défunt Hassan Laribi, qui était l'une des valeurs sûres de la musique arabe et qui avait formé plusieurs générations de musiciens et côtoyé les plus grands artistes du Monde arabe. Ce fin connaîsseur de la musique arabe était un défenseur du patrimoine et de la culture constituant l'identité arabe. «Hassan Laribi, l'artiste lybien, nous a quittés cette année 2009 mais son nom restera gravé dans les pages de la musique arabe et dans la mémoire de tout amateur de cette musique», déclare le commissaire du festival. Hassan Laribi n'était pas seulement un artiste libyen mais bien un artiste arabe et, au-delà, universel. Compositeur, musicien et chef d'orchestre d'exception, il a consacré sa vie au service de la culture arabe et à sa préservation. Espace privilégié des nobles et exigeantes convergences musicales et artistiques, «notre manifestation reste fidèle à son credo : la fraternité internationale», annonce Rachid Guerbas. Enfin le programme général de cette manifestation se résume en des soirées dédiées à la musique andalouse qui sera représentée dans la variété de ses formes et son unité profonde par l'orchestre de Tetouan dirigé par Mehdi Chaachou pour le Maroc, les Chouyoukh de Testour représenteront le Malouf tunisien et l'ensemble Hassan Laribi pour le malouf libyen. La musique andalouse algérienne sera, quant à elle, représentée par l'Ensemble national de musique andalouse dirigé par Rachid Guerbas ainsi que par les trois ensembles régionaux et, bien sûr, les associations algériennes de musique andalouse sélectionnées au cours des concours nationaux. Nous distinguerons aussi l'écho d'Al Andalus dans la musique de l'ensemble espagnol Axivil aljamia. En marge de ces soirées, des conférences à la salle Frantz-Fanon de Riad El Feth, autour de la musique et de la poésie andalouses seront organisées afin d'en savoir plus sur les développements des dernières recherches dans ce domaine avec la participation d'éminents spécialistes tels que Hamdane Hadjadji, Laârbi Ghazal, Syrine Ben Moussa Gérard Bouillaguet, Ahmed Aydoun... Par ailleurs, la soirée de clôture distinguera les lauréats du concours international de mandoline organisé durant ce festival, «une occasion d'encourager cette jeune génération de s'initier et de découvrir de nouveaux instruments», assure Rachid Guerbas. Cette nouvelle édition sera l'occasion de découvrir les différentes tonalités de l'andalou à travers le monde. De la musique perse jusqu'au rythme des musiques anciennes du Maroc et d'Espagne, les soirées concoctées cette année seront débordantes de joie et d'allégresse. Cette 4e édition sera un véritable hommage à l'encyclopédie de la musique arabe, le défunt Hassan Laribi, qui était l'une des valeurs sûres de la musique arabe et qui avait formé plusieurs générations de musiciens et côtoyé les plus grands artistes du Monde arabe. Ce fin connaîsseur de la musique arabe était un défenseur du patrimoine et de la culture constituant l'identité arabe. «Hassan Laribi, l'artiste lybien, nous a quittés cette année 2009 mais son nom restera gravé dans les pages de la musique arabe et dans la mémoire de tout amateur de cette musique», déclare le commissaire du festival. Hassan Laribi n'était pas seulement un artiste libyen mais bien un artiste arabe et, au-delà, universel. Compositeur, musicien et chef d'orchestre d'exception, il a consacré sa vie au service de la culture arabe et à sa préservation. Espace privilégié des nobles et exigeantes convergences musicales et artistiques, «notre manifestation reste fidèle à son credo : la fraternité internationale», annonce Rachid Guerbas. Enfin le programme général de cette manifestation se résume en des soirées dédiées à la musique andalouse qui sera représentée dans la variété de ses formes et son unité profonde par l'orchestre de Tetouan dirigé par Mehdi Chaachou pour le Maroc, les Chouyoukh de Testour représenteront le Malouf tunisien et l'ensemble Hassan Laribi pour le malouf libyen. La musique andalouse algérienne sera, quant à elle, représentée par l'Ensemble national de musique andalouse dirigé par Rachid Guerbas ainsi que par les trois ensembles régionaux et, bien sûr, les associations algériennes de musique andalouse sélectionnées au cours des concours nationaux. Nous distinguerons aussi l'écho d'Al Andalus dans la musique de l'ensemble espagnol Axivil aljamia. En marge de ces soirées, des conférences à la salle Frantz-Fanon de Riad El Feth, autour de la musique et de la poésie andalouses seront organisées afin d'en savoir plus sur les développements des dernières recherches dans ce domaine avec la participation d'éminents spécialistes tels que Hamdane Hadjadji, Laârbi Ghazal, Syrine Ben Moussa Gérard Bouillaguet, Ahmed Aydoun... Par ailleurs, la soirée de clôture distinguera les lauréats du concours international de mandoline organisé durant ce festival, «une occasion d'encourager cette jeune génération de s'initier et de découvrir de nouveaux instruments», assure Rachid Guerbas.