Un homme de 59 ans père de de cinq enfants a été expulsé, avec tous les membres de sa famille du logement qu‘il occupait depuis plus de quarante ans. Il n‘est pas le seul dans ce cas, puisque douze autres familles sont dans le même cas. Le drame de la famille expuisée s‘est joué au 3 rue Mohamed Douar El-Hamma à Alger. Cette famille, jusque là sans histoire, était loin de s‘attendre à recevoir un avis d‘expulsion, dont nous détenons une copie. L‘avis daté du 6 du mois en cours leur laisse un très court délai afin de tenter d‘envisager de trouver la moindre solution à leur relogement. Le père de famille nous affirme en effet qu‘à aucun moment, ils «n‘ont été avertis de cette décision». Cet ultmatum a condamné une famille de six personnes à vivre à la belle étoile depuis le 20 de ce mois, dernier délai leur ayant été accordé pour vider les lieux. Depuis ils se retrouvent à la rue totalement désemparés et ne sachant que faire. Feu le propriétaire de cet immeuble avait loué, de son vivant, les appartements de l‘immeuble sus-cité à une douzaine de familles, dont la famille Slamia, et il n‘ya jamais eu le moindre problème ou contestation, les locataires s‘acquittant régulièrement de leurs charges, se croyant ainsi à l‘abri de toute mauvaise surprise. Mais après la mort du propriètaire les héritiers ont tenu à récupérer leur bien et pour cela ils ont réclamé purement et simplement l‘expulsion de ces familles qui occupent les lieux depuis 1965. Tout le monde peut facilement imaginer le désarroi de ces familles qui se retrouvent du jour au lendemain confrontées à une situation inédite et cauchemardesque. Ces familles s‘interrogent sur leur devenir et sur la légalité de cette expulsion qui intervient en plein hiver. «Jeter des familles à la rue est-il légal et à qui devons-nous nous nous adresser à présent pour protéger nos droits», est la question de Mohamed Slamia, qui aimerait comprendre au nom de quelle justice peut-on mettre des familles à la rue et surtout quels sont les recours que leur accorde la loi. Un homme de 59 ans père de de cinq enfants a été expulsé, avec tous les membres de sa famille du logement qu‘il occupait depuis plus de quarante ans. Il n‘est pas le seul dans ce cas, puisque douze autres familles sont dans le même cas. Le drame de la famille expuisée s‘est joué au 3 rue Mohamed Douar El-Hamma à Alger. Cette famille, jusque là sans histoire, était loin de s‘attendre à recevoir un avis d‘expulsion, dont nous détenons une copie. L‘avis daté du 6 du mois en cours leur laisse un très court délai afin de tenter d‘envisager de trouver la moindre solution à leur relogement. Le père de famille nous affirme en effet qu‘à aucun moment, ils «n‘ont été avertis de cette décision». Cet ultmatum a condamné une famille de six personnes à vivre à la belle étoile depuis le 20 de ce mois, dernier délai leur ayant été accordé pour vider les lieux. Depuis ils se retrouvent à la rue totalement désemparés et ne sachant que faire. Feu le propriétaire de cet immeuble avait loué, de son vivant, les appartements de l‘immeuble sus-cité à une douzaine de familles, dont la famille Slamia, et il n‘ya jamais eu le moindre problème ou contestation, les locataires s‘acquittant régulièrement de leurs charges, se croyant ainsi à l‘abri de toute mauvaise surprise. Mais après la mort du propriètaire les héritiers ont tenu à récupérer leur bien et pour cela ils ont réclamé purement et simplement l‘expulsion de ces familles qui occupent les lieux depuis 1965. Tout le monde peut facilement imaginer le désarroi de ces familles qui se retrouvent du jour au lendemain confrontées à une situation inédite et cauchemardesque. Ces familles s‘interrogent sur leur devenir et sur la légalité de cette expulsion qui intervient en plein hiver. «Jeter des familles à la rue est-il légal et à qui devons-nous nous nous adresser à présent pour protéger nos droits», est la question de Mohamed Slamia, qui aimerait comprendre au nom de quelle justice peut-on mettre des familles à la rue et surtout quels sont les recours que leur accorde la loi.