Sortie du tome I des mémoires de Jean-Marie Le Pen. En promo, pour un exemplaire acheté, une...
... Multiprise offerte ! Nous avons un problème avec la réussite privée. Un gros problème. Un problème grand comme «El-Hamlaoui» ! Issad Rebrab cède ses actifs en Italie, et tout ce que compte ce pays comme zygomatiques rémunérés, comme ricanants professionnels se lance dans un ballet que l'on pourrait résumer de la sorte : «T'as vu ! Il s'est cassé la gueule chez les ritals.» L'homme d'affaires crée des entreprises aux quatre coins de la planète, fournit de l'emploi, et surtout, doit faire face chez lui, en Dézédie, aux pires blocages et entraves, et les «cerveaux» agités en ce moment en mode «meute hurlante» ne voient que la vente des actifs italiens du patron de Cevital. En gros, les échecs successifs, les ratages économiques signés et presque assumés ouvertement par le «pouvoir» depuis l'indépendance, ça ne fait rien, c'est dans l'ordre naturel des choses, mais les entreprises de Rebrab, et la vie des entreprises de Rebrab, avec ce qu'elle comprend comme aspects managériaux divers, de hauts et de bas, là, non ! Faut prendre le gros marqueur indélébile et surligner tout cela, en veillant à réveiller la ville à minuit, berrah et ghaïta en prime afin que tout le monde réuni sur la place publique soit contraint de se «réjouir» des difficultés surdimensionnées de cet entrepreneur hors-moule. Non ! Assurément, nous avons un énorme problème avec la réussite. On dirait que la réussite d'un Dézédien est notre propre échec. Ça relève du divan. Voire de l'enfermement pour stade ultime de la schizophrénie...économique ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.