Erdogan est, semble-t-il, en passe de devenir le spécialiste du travestissement des statistiques historiques. Il prête encore au Président algérien un chiffre de pertes en vies humaines pendant la colonisation qui n'est pas visiblement celui des sources officielles. Ça lui vaut un « recadrage». Cette histoire de cadre devient amusante. Quand certains se font décadrer, d'autres sont recadrés, c'est la vie. A. T. [email protected]