La r�union qui s�est tenue la veille de l�A�d au si�ge de la wilaya et qui a regroup� chefs de da�ra et directeurs de l�ex�cutif, et qui a eu pour objet l�assainissement de la situation pour ce qui est des op�rations d�ex�cution des projets inscrits, r�alis�s ou non, lanc�s depuis 2002, a permis de r�v�ler qu�un nombre important de ces op�rations n�a pas �t� cl�tur�, des cr�dits relativement peu consomm�s et que certains projets n�ont pas �t� lanc�s. Selon la DLEP (Direction du logement et des �quipements publics), le taux global de consommation des cr�dits a atteint � la fin du mois d�octobre dernier 48% pour les �tablissements du cycle moyen portant l�indicatif 6/23, de 56% pour le 6/22, c�est-�dire le cycle secondaire et de 65% pour le 6/21. Selon les chiffres �nonc�s par la tr�sori�re de la wilaya au mois d'ao�t dernier, les taux de consommation tournent autour de 30% et le taux d�engagement d�passe � peine les 50%. On indique qu�il reste 40 op�rations non cl�tur�es sur 132 inscrites, certaines datant de 2002, 2003... jusqu�� 2008. Cependant, on ajoute que ces op�rations non cl�tur�es le seront au 31 d�cembre prochain. On note aussi que sur les 132 op�rations, 112 restent des op�rations �vivantes�. Le wali a mand� les directeurs de son ex�cutif de proc�der � la cl�ture de ces op�rations avant la tenue de la commission d�arbitrage de 2011, �m�me si vous devez travailler jour et nuit�, a-t-il dit. Comment explique-t-on le retard accus� dans les proc�dures de cl�ture ? Les causes avanc�es sont, entre autres, des appels d�offres r�p�t�s qui sont achev�s ou m�me pas lanc�s, des entreprises qui n�auraient pas pr�sent� leur situation, des bureaux d��tudes locaux submerg�s qui n�arrivent plus � r�pondre � la demande. Pour d�autres op�rations, un an de d�lai est exig� avant la r�ception d�finitive et la cl�ture de l�op�ration �pour �viter tout probl�me de contentieux �. Ce sont les structures �ducatives qui sont le plus touch�es par ce retard. On essaie de parer au plus press� en r�alisant les lots p�dagogiques (blocs, classes et laboratoires) et restent � la tra�ne les structures d�accompagnement, � savoir salles de sport, cantines, logements de fonction entre autres. S�agissant du programme 2010, qui entre dans le cadre du quinquennal 2010/2014, on indique que tous les projets sont au stade des �tudes et de l��laboration des cahiers de charges. Pour ce qui est de ce quinquennal, on indique que la d�globalisation par secteur et par ann�e est attendue. Karim O. Un corps rep�ch� dans le barrage El Mostakbal de Boumedfa� Ce sont des passants qui ont aper�u le corps d�un homme flottant � la surface de l�eau qui ont averti les autorit�s locales. Une �quipe de plongeurs de la Protection civile de A�n-Defla muni d�un zodiaque a intervenu sur l�immense plan d�eau. Samedi, � 9 h, le cadavre a pu �tre rep�ch� non loin d�une rive. Selon les informations que nous avons pu recueillir de sources locales, le cadavre �tait en �tat de d�composition mais il a �t� assez rapidement identifi�, il s�agit d�un jeune homme de 25 ans, originaire de la localit� de A�n Dem, � quelques kilom�tres � l�est de Boumedfa�. Le jeune homme avait disparu depuis une vingtaine de jours du domicile familial, sa disparition avait �t� signal�e par les parents. Toujours selon nos sources, le jeune homme souffrirait de d�fiscience mentale. La d�pouille a �t� d�pos�e � la polyclinique de Boumedfa� en attendant les conclusions de l�enqu�te diligent�e par la gendarmerie. A signaler que depuis le d�but de l�ann�e 2010, la Protection civile de A�n Defla a proc�d� � plus de 20 interventions dans le cadre des noyades dans les barrages, puits et autres bassins d�irrigation. Bilan durant ces 11 mois : 16 d�c�s par noyade et 4 personnes ont pu �tre sauv�es par les pompiers.