COMMISSION DES �UVRES SOCIALES DE L��DUCATION Quand les conflits d�int�r�t virent vers l�impasse � Tiaret �Quel d�nouement � la situation de blocage que conna�t la commission de wilaya des �uvres sociales de l��ducation ?� Telle est entre autres, l�interrogation que se posent sans cesse les travailleurs de ce secteur et dont la r�ponse n�est certainement pas pour demain. C�est du moins l�avis de la majorit� de la corporation qui n�arrive toujours pas � s�y situer, en raison du flou qui persiste sur ce dossier, mais aussi du fait d�une absence criarde de communication. Les quelque 16 000 employ�s de l��ducation de la wilaya de Tiaret et plus particuli�rement ceux ayant d�pos� des dossiers pour b�n�ficier de diff�rents pr�ts, dons ou indemnit�s tel que consign�s dans le r�glement int�rieur, sont manifestement pris en otage et ne savent plus � quel saint se vouer, dans la mesure o� les six membres repr�sentant la structure de gestion sur les neuf que compte la commission continuent � boycotter la signature des d�lib�rations, ce qui n�est pas sans aggraver les choses, comme a tenu � le mentionner M. Azzouz l�actuel pr�sident de la dite commission, lors d�un point de presse qu�il a anim� samedi dernier. Interrog� � ce sujet, le m�me intervenant, assist� de ses deux vice-pr�sidents et en pr�sence de deux coordinateurs syndicaux (Cnapest-Satef) avait imputer la situation � des conflits entre les deux parties constituant pourtant la m�me commission. �La structure de gestion qui voulait proposer deux vice-pr�sidents de son choix, n�assiste plus aux r�unions et ne valide aucun P.V, alors que les listes des b�n�ficiaires des diff�rents dons sont pr�tes�, explique-t-il en substance, ajoutant que la commission dispose pour le compte de l�exercice 2011-2012, d�une cagnotte de pas moins de 23 milliards de centimes. Celle-ci devrait concerner bon nombre de b�n�ficiaires du secteur � savoir : 1 227 retrait�s, 327 orphelins, 167 veuves et des aides concernant 67 interventions chirurgicales� a-t-il indiqu�. . Cette crise frisant l�inextricable a �t� m�me port�e devant le wali, lors des festivit�s du 24 f�vrier dernier, non sans exhorter les membres concern�s � trouver eux-m�mes les solutions selon les proc�dures r�glementaires. M�me la Commission nationale des �uvres sociales et la Direction de l��ducation se sont mises de la partie pour tenter de d�m�ler l��cheveau mais, vainement face aux incommensurables dimensions que prennent les conflits d�int�r�t opposant les uns aux autres. Il convient de souligner que nombreux parmi les travailleurs et les syndicaux du secteur de l��ducation qui voient en la dissolution de la commission et l��lection d�une nouvelle �quipe, la solution appropri�e � cet imbroglio qui ne fait que perdurer au grand dam de la famille �ducative. Mourad Benameur TLEMCEN B�ni Mester, la col�re des GLD Ils sont plus de 300 �l�ments appartenant aux groupes de l�gitime d�fense (GLD) � vivre dans le d�nuement le plus complet. Ils ont �t� confront�s � des situations p�rilleuses pendant les ann�es de braise. Ils ont combattu le terrorisme au moment o� la horde int�griste occupait l�arri�re-pays et s�acharnait sur des populations isol�es et sans d�fense. Il faut tout de m�me pr�ciser que ce sont les �l�ments des GLD, dans la r�gion de B�ni Mester, Bouhlou et Sabra qui ont s�curis� les routes et les hameaux. Ils ont fait preuve d�un grand courage et de sacrifice pour assurer la s�curit� des citoyens. Aujourd�hui, ils sont compl�tement oubli�s, et ne re�oivent aucune indemnit� de la part de l��tat. Parmi eux, il y a des p�res de famille. Cependant, au lendemain de la r�conciliation nationale, l�amertume �tait � son comble. Des repentis ont b�n�fici� de certains droits et m�nent une vie plut�t d�cente alors que ceux qui les traquaient sont r�duits � la mendicit�. Les �l�ments des GLD de B�ni Mester ont le soutien de toute la population et envisagent d�autres moyens pour se faire entendre. Par ailleurs, les GLD dans cette localit� sont toujours actifs, ce qui a permis d�assurer une stabilit� � tous les niveaux. M. Zenasni RELIZANE Un lyc�en en d�tention pr�ventive pour avoir tabass� son professeur Le procureur de la R�publique pr�s le tribunal de la ville d�Ammi Moussa vient de mettre en d�tention pr�ventive, un lyc�en poursuivi pour avoir tabass� son professeur, a-t-on appris de sources cr�dibles. Les faits remontent � mardi dernier, lorsque le mis en cause scolaris� au lyc�e d�A�n Tarik, �g� d�une vingtaine d�ann�es, s�est dirig� vers le domicile de son professeur. D�s que la porte s�ouvrit, il le frappa � l�aide d�une pierre au cou. Le malheureux professeur s��vanouit et tomba � terre. Alert�s par la famille de l�enseignant, les �l�ments de la brigade de police de la ville d�A�n Tarik et ceux de la Protection civile se sont rendus sur les lieux. La victime fut �vacu�e de suite vers les urgences m�dicales de l��tablissement hospitalier public de proximit� de la ville d�A�n Tarik o� elle a re�u les soins n�cessaires. Une plainte a �t� d�pos�e. Il est � signaler que les lyc�ens du lyc�e d�A�n Tarik ont observ� un arr�t de cours en guise de soutien � leur camarade de classe apr�s que les enseignants eurent renvoy� le lyc�en, selon les m�mes sources. A. Rahmane NA�MA La police veille sur l�environnement Un programme de plantation de plusieurs plants d�arbres a �t� initi� par la S�ret� de la wilaya de Na�ma, en collaboration avec la Conservation des for�ts et la Direction de l�environnement. De ce fait, plusieurs sites ont fait l�objet d�une op�ration de reboisement. C�est ainsi que des centaines de diff�rentes esp�ces de plants ont �t� plant�es � travers les espaces verts des lotissements de la ville, de m�me que dans certains parcours nus, situ�s � l�int�rieur et � proximit� des centres urbains de la wilaya. Notons que cette campagne rentre dans le cadre des activit�s des �l�ments de la police et aura sans doute un impact sur la sensibilisation des jeunes sur la protection et l��ducation environnementale, indique-t-on. B. Henine Le voleur de cheptel arr�t� S. L. �leveur, �g� de 32 ans, auteur de vols de cheptel, a �t� arr�t� par les �l�ments de la S�ret� de wilaya de Na�ma. Le mis en cause �tait activement recherch� par les services de s�curit�, suite � des plaintes d�pos�es par les �leveurs de la r�gion, faisant �tat de vols de leurs moutons. Se basant sur des indices, les policiers ont mis fin au calvaire des �leveurs, en arr�tant le voleur qui a �t� remis � la justice.