Le manque récurrent d'enseignants de français, notamment dans les villes de l'intérieur, est devenu une constante ; sauf que la contagion est en train de toucher la capitale. Sinon comment expliquer qu'un mois après la rentrée scolaire, les élèves de l'école Cheikh Bouamama 2, située juste en face du ministère de l'Education, soient toujours dans l'attente que le département de Baba Ahmed y affecte une enseignante de langue française ?