«Attention si votre chien est surpris en train d'errer sur la voie publique, ou dans un champ de blé ou de maïs, il sera conduit à la fourrière et abattu après 48 heures s'il n'est pas tatoué ou s'il n'a pas de collier permettant de retrouver son maître. Un délai de grâce de huit jours lui est accordé lorsque ce dernier est identifié. Amende pour le propriétaire de l'animal.» Ces recommandations ne nous concernent pas, elles concernent ceux qui ne font aucune différence entre un être humain et un être animal ; ceux qui font de leurs chiens, leurs propres fils (héritiers). Chez nous, un chien n'est qu'un chien, et il faut donc l'abattre. Les services de la prévention, relevant de la santé, ont enregistré 164 sujets de morsures au cours de l'année 2013, alors que des meutes de chiens errants continuent à investir les rues des villes en instaurant le couvre-feu dès la tombée de la nuit, causant vraiment un danger pour les riverains, surtout pour les fidèles qui se rendent aux mosquées pour la prière de Sobh. Des opérations d'abattage sont souhaitables afin de mettre un terme à la prolifération de ces chiens et d'éradiquer les dangers liés aux zoonoses ; maladies transmissibles provoquant le kyste hydatique, la leishmaniose, et surtout la rage.