Dans la page 11 de l'édition du 11 janvier 2016, votre quotidien a commis un article, signé R.N., sous l'intitulé «Des élus regrettent la gestion en solo du maire», dont le contenu est aussi tendancieux qu'outrageux à l'égard de ma personne. L'article en question reprend une déclaration vindicative, sous le sceau de pseudoélus de la commune de Tizi-Ouzou, regrettant la situation «catastrophique qui prévaut au niveau de l'APC» et dénonçant de façon factice «le fait que le sort de la commune est détenu par la seule personne du maire qui excelle dans la gestion unipersonnelle». Il va sans dire que ce chapelet de griefs, ciblant mon intégrité et, au-delà de ma modeste personne, la cohésion et la stabilité qui caractérisent l'Assemblée communale actuelle, ne repose sur aucun fondement. Je regrette que votre journal s'empresse de publier un texte courageusement anonyme, sans avoir préalablement vérifié la véracité des faits auprès de notre assemblée, faisant fi de l'éthique et des règles professionnelles les plus élémentaires. Heureuse coïncidence, l'assemblée qui a tenu sa première session ordinaire de l'année, ce jour du 11 janvier 2016, s'est indignée de ces accusations aussi abusives que calomnieuses dont le dessein inavoué est de tordre le cou à la synergie et l'harmonie qui prévalent dans le groupe. Manœuvre vaine ; les 32 élus présents sur les 33 de l'assemblée ont, dans un élan de sympathie émouvant, unanimement exprimé leur indéfectible soutien au président de l'APC que je m'honore de représenter et pleinement réitéré leur confiance (ci-joint copie minute du registre des délibérations). Du reste, les citoyennes et les citoyens de la commune de Tizi-Ouzou sont témoins de l'entrain, des efforts consentis par les élus de la présente mandature et du saut qualitatif enregistré tant dans la gestion et la rationalisation des ressources humaines et matérielles dont dispose notre commune, que dans la redynamisation des projets de développement.