Un choc émotionnel : la chute massive est due à la sécrétion anormale des hormones androgènes qui tuent le cheveu. La variation des sécrétions hormonales masculines : la testostérone (sécrétée par les testicules), la déhydroépiandrostérone et l'androstènédine anormalement actives tuent les cheveux Une maladie infectieuse : la grippe, les affections à streptocoques, la mononucléose peuvent entraîner des alopécies sans conséquence à long terme. La santé rétablie, les cheveux repoussent. Un mauvais traitement capillaire : décoloration ou permanente mal maîtrisée, effectuée par des personnes incompétentes . Un accouchement : les femmes perdent leurs cheveux environ deux mois après la fin de leur grossesse. A l'accouchement, l'interruption des flux déclenche souvent une perte des cheveux massive et momentanée. La prise de médicaments : la chute est spectaculaire, presque totale chez les patients qui subissent une chimiothérapie dans le cadre du traitement contre le cancer. Une mauvaise vascularisation : mal irrigué, le cuir chevelu n'alimente plus le cheveu qui finit par mourir. Les carences en acides aminés essentiels : la kératine a un besoin vital d'acides aminés essentiels, en particulier la cystine. Elle raffole aussi d'oligoéléments sinon elle dépérit.