Par Kader Bakou «Avant c'était mieux», «notre génération savait vivre», ou «durant notre jeunesse, il y avait une foisonnante activité culturelle et d'intenses débats intellectuels», entend-on souvent autour de nous. C'est peut-être vrai. Mais pourquoi ces «soixante-dixard», cette «génération privilégiée» dans une «Algérie heureuse», n'a pas transmis cette éducation, cette culture et ce savoir-vivre à la jeunesse d'aujourd'hui ? Sans minimiser le rôle de l'éducation familiale ou de l'école, chaque génération apprend certaines valeurs auprès de son aînée. A qui la faute, à celui qui n'a pas su transmettre ou à celui qui n'a pas reçu ? K. B.