«C'est derrière moi, c'est du passé maintenant. On a décidé de prendre des chemins différents, d'une façon cordiale. La résiliation mutuelle du contrat était la meilleure option. Je leur ai souhaité le meilleur et moi, je suis prêt pour un nouveau défi.» Les propos sont de Milovan Rajevac, l'ex-sélectionneur serbe de la sélection algérienne. Une semaine, jour pour jour, après sa démission-limogeage, Rajevac s'est confié, comme ses prédécesseurs, à un journal...français (L'Equipe). Sans préjuger de la langue utilisée par Rajevac, lequel s'appuyait sur son compatriote et traducteur, Kristian Cvijevic (reconduit par la FAF), pour s'exprimer devant la presse mais aussi à l'endroit de ses collaborateurs et les joueurs, cette déclaration n'apporte aucun élément de réponse aux vraies raisons qui ont précipité la résiliation du contrat de l'ex-coach du Ghana. Juste que l'auteur de l'article, qui précise que Rajevac a été «démis», pense que le Serbe ne tient pas «rancœur».