Google est poursuivi pour pratiques abusives La l�g�ret� �volontaire� de Google sur certaines pratiques commence � peser sur le moteur de recherche � � l'image du �laisser-faire� sur ses index consistant � ne r�agir qu'apr�s coup pour supprimer du contenu pourtant interdit. Les outils publicitaires, qu'il s'agisse de Google AdWords (liens sponsoris�s propos�s en parall�le aux r�sultats organiques du moteur) ou de Google AdSense (liens contextuels et r�mun�r�s au clic qui s'affichent sur des sites partenaires), ne sont pas exempts de d�rives. Ainsi, Google est poursuivi pour des pratiques de fraude au clic : il lui est reproch� de ne pas intervenir suffisamment rapidement lorsque des sites d�tourn�s mettent en place des outils automatis�s qui cliquent artificiellement sur des liens afin de g�n�rer artificiellement des clics payants. Certains annonceurs mettent en cause l'attitude de Google, qui tire profit de ces d�rives puisqu'il encaisse au clic. L'absence de contr�les �visibles�, le manque de r�activit� lorsqu'un annonceur s'estime victime d'une fraude, sont point�es du doigt. Ces pratiques font d'ailleurs l'objet de proc�dures judiciaires actuellement. En effet, le syst�me d'offres de Google permet de limiter les volumes d'annonces journali�res, c'est-�-dire le nombre d'affichage d'un lien publicitaire. Pour l'annonceur qui s'engage sur un prix d'ench�re au mot-cl�, c'est une garantie de budget qui lui permet d'�viter de d�passer son engagement de tr�sorerie. Seulement voil�, Google ne respecterait pas ces limites quotidiennes ! Avec pour cons�quence d'entra�ner des d�passements budg�taires. Et parfois indirectement de ne pouvoir respecter des strat�gies marketing, les annonceurs n'h�sitant pas � partager et �quilibrer certaines campagnes entre diff�rents mots-cl�s. Il meurt d'�puisement en... jouant en ligne Un Sud-Cor�en de 28 ans est d�c�d� d'�puisement dans un cybercaf� apr�s s'�tre adonn� � un jeu de simulation de guerre plusieurs jours durant. Lee, jeune homme de 28 ans, serait mort d'�puisement dans un cybercaf� de Taegu, dans le sud du pays. Apr�s avoir jou� durant cinquante heures d'affil�e, se contentant uniquement de fr�quenter les toilettes et de grignoter des cacahu�tes. �Nous pr�sumons que la cause du d�c�s est une crise cardiaque entra�n�e par l'�puisement�, a pr�cis� la police cor�enne. Macromedia Studio 8 disponible Macromedia, apr�s son rachat par Adobe, lance Studio 8, nouvelle suite logicielle bas�e sur les produits phares du cr�ateur : Dreamweaver et Flash. Macromedia Studio 8 sera disponible en septembre, en fran�ais. C'est le digne successeur de Studio MX 2004, qui n'avait pas r�ussi pourtant � convaincre tous les utilisateurs, d��us en particulier par une rapidit� de certaines applications pour le moins al�atoire ! La nouvelle suite est compos�e de Dreamweaver 8 (d�veloppement Web), Flash Professional 8 (animation au format flash), Fireworks 8 (traitement des images), Contribute 3 (publication Web) et Flash Paper 2 (convertisseur Web en flash ou PDF). Quelques nouveaut�s sont attendues, l'optimisation pour les formats CSS et XML, ainsi que des technologies d'encodage vid�o tourn�es vers le Web. Macromedia annonce de nouvelles fonctions de gestion des contenus Web dans Contribute, de nouveaux effets graphiques tels que m�langes et flous, des performances et des interfaces utilisateur am�lior�es, et une int�gration avec les technologies les plus r�centes. La principale nouveaut� vient cependant de l'int�gration des technologies mobiles, afin de permettre aux p�riph�riques de type t�l�phone ou PDA d'afficher des contenus Web d�velopp�s gr�ce � Studio 8. Le "roi du spam" verse 7 millions de dollars � Microsoft Microsoft s'est enfin d�barrass� de celui que le monde entier avait surnomm� le �roi du spam�. L'int�ress� � Scott Richter � �tait accus� d'avoir envoy�, via sa soci�t�, 38 milliards d'emails non sollicit�s par an en moyenne. Microsoft avait port� plainte contre lui en 2003, mais l'affaire n'est pas all�e jusqu'au proc�s. Richter vient de signer un compromis avec l'�diteur pour mettre un terme aux poursuites judiciaires. Il va lui verser la coquette somme de 7 millions de dollars. S'il �tait pass� devant un tribunal, il risquait plusieurs ann�es de prison, en vertu de la loi am�ricaine Can Spam. Ironie du sort, il aurait pu d�bourser �seulement� 100.000 dollars s'il avait accept�, fin 2004, la proposition de Microsoft pour abandonner les poursuites. Mais il avait rejet� cette offre. Dans un communiqu�, Microsoft a promis de verser au minimum 5 millions de dollars pour aider les diff�rentes agences f�d�rales am�ricaines � lutter contre les crimes informatiques.