A l�heure o� dans la capitale, les soins � domicile et l�hospitalisation � domicile sont d�actualit�, dans nos villages, le secteur de la sant� demeure le plus grand absent. Les citoyens vivent le calvaire. A l�instar de la quasi-totalit� des villageois, ceux d�Afir-Azazna se plaignent de la situation invivable qu�ils endurent et des d�sagr�ments qui leur sont caus�s par l�absence d�une unit� de soins ou plut�t par la fermeture de celle du village. En effet, Afir-Azazna �tait dot� d�une unit� de soins qui est malheureusement ferm�e depuis presque une quinzaine d�ann�es. Les villageois qui ont cru � un d�but de d�veloppement se sont vite rendu compte que tout n��tait que d�sillusion. Bien que la situation s�curitaire s�est nettement am�lior�e dans la r�gion, les services concern�s (secteur sanitaire de Bordj-Mena�el) ne daignent pas encore rouvrir l�unit� et pr�f�rent ainsi la laisser se d�grader au lieu de servir les nombreux habitants du village. Les repr�sentants des diff�rents hameaux qui composent Afir-Azazna n�ont cess� de multiplier leurs d�marches pour sa r�ouverture, mais � ce jour, elles demeurent vaines. Ainsi, pour un simple injection, le citoyen doit se d�placer � des kilom�tres.