La JSM Tiaret qui a renou� avec les entra�nements il y a une dizaine de jours avec toute une pl�iade de nouvelles recrues sous la houlette de Ahmed Benamar, compte bien �viter les erreurs de la saison pr�c�dente � m�me de s�offrir une place honorable, c�est du moins ce que nous a d�clar� le pr�sident du club Rachid Na�k. Ce dernier qui ne cache ses appr�hensions en raison de la pi�tre situation financi�re, se montre en revanche optimiste notamment apr�s la derni�re entrevue qualifi�e de �prometteuse� qu�il a eue avec le chef de cabinet de la wilaya. Ce dernier devait rassurer le pr�sident de club de l�apport d�une enveloppe cons�quente repr�sentant la participation du fonds de wilaya (300 millions), l�APC (400 millions) et 300 autres millions qui seront vers�s au club sous forme de montage financier. M�me si ce pactole s�av�re insuffisant pour jouer l�accession comme le pense le pr�sident, il sera par contre d�une grande aide ne serait-ce que pour r�gulariser la premi�re tranche de la prime de signature des joueurs dont pas moins de 13 sont nouvellement arriv�s pour tenter l�exp�rience avec �les Bleu et Blanc�. Il s�agit en effet de Kebbous, Hamlil et Chemim (ex-JSK), Kecha�ri (ex-MS Batna) Benyoub et Aliane (ex-AS Khroub), Samir, Doukha et Bakhtaoui (ex-ASO Chlef), Guerzou (ex- WA Boufarik), Helhal (ex-GC Mascara), Benmansour (ex-NARB R�gha�a) et Fellag (ex-US Biskra). Pour ce qui est des joueurs lib�r�s, le m�me intervenant nous fait savoir que ces derniers �taient libres de tout engagement et c�est eux qui ont demand� � partir. Le cas concerne Khadir, Amhis, Souama, Soualmia, Amara, Djerba et Dahmane. L�on saura par ailleurs, que la barre technique de la JSMT a �t� �galement consolid�e par l�ex-milieu de terrain de l�EN, Sa�b Moussa en l�occurrence. Celui-ci qui s�est entretenu r�cemment avec Rachid Na�k aurait donn� son aval pour travailler en duo aux c�t�s de Ahmed Benamar. Ceci dit, le renfort humain pour lequel a opt� le responsable du club pour aspirer � un meilleur parcours reste assujetti � l�am�lioration de la situation financi�re loin de l�aide de l�Etat, ce qui remet sur le tapis la n�cessit� absolue de recourir aux sponsors et autres ressources d�autant que le pr�sident se dit capable de relever le d�fit.