Un cas de m�ningite tr�s purulente d�origine bact�rienne appel�e m�ningo-enc�phalite confirm� par les analyses effectu�es s�est d�clar� dimanche, a-t-on appris aupr�s de la SEMEP au niveau du p�nitencier �Le Sheraton�, dans le chef-lieu de Sidi-Bel-Abb�s. Un d�tenu �g� de 27 ans admis dans un �tat comateux est d�c�d� lundi dernier au niveau de l�h�pital du p�nitencier malgr� une tentative d�intubation pour le sauver. Aussit�t alert�e, une �quipe de la SEMEP s�est d�plac�e au niveau du CHU de Sidi-Bel-Abb�s pour s�enqu�rir de la situation et ce, apr�s l�ouverture d�une enqu�te �pid�miologique au niveau du p�nitencier. Des directives ont �t� donn�es au personnel m�dical du p�nitencier pour effectuer des d�pistages chez les sujets qui �taient en contact avec la victime et qui devaient aussi recevoir une cure de chimioprophylaxie. Tous les d�tenus et le personnel exer�ant au niveau du p�nitencier ont �t� vaccin�s. A signaler que depuis le d�but du mois de juillet, de nombreux cas de m�ningite ont �t� enregistr�s � Sidi-Bel-Abb�s, pour la majorit� d�origine virale, donc ne pr�sentant pas un grand danger � l�exception de quatre cas qui se sont av�r�s d�origine bact�rienne, � savoir des m�ningo-enc�phalites mais la SEMEP rassure que la situation a �t� ma�tris�e, que ces cas sont isol�s et ne se sont pas d�clar�s en milieu collectif et que les sujets contacts ont aussit�t b�n�fici� d�un traitement de pr�vention, � savoir la chimioprophylaxie qui a emp�ch� la maladie de s��tendre � d�autres personnes. Questionn� sur la multiplication des cas de m�ningite ces derniers temps, le responsable de la SEMEP a �voqu� l�effet des grosses chaleurs qui s�vissent depuis le d�but de cette saison estivale qui seraient probablement pour beaucoup dans la d�claration de ces maladies. A. M. Un trou de 100 000 euros � l'agence BADR de Sfisef Un trou de 100 000 euros �quivalent � peu pr�s � un milliard de centimes a �t� d�couvert � l�agence BADR de Sfisef (Sidi-Bel-Abb�s) derni�rement. L�enqu�te qui a �t� d�clench�e aurait mis en �vidence que des comptes devises faisaient l�objet d�op�rations frauduleuses par des ind�licats au sein de l�agence et cela depuis plusieurs ann�es. Ces op�rations ont fini avec le temps par creuser le trou en question. Quant aux employ�s impliqu�s dans cette affaire, l�enqu�te suit toujours son cours.