"J'ai rencontr� un retrait� heureux..." C'est avec un grand plaisir que je reprends mon stylo pour vous �crire, mais cette fois-ci, c�est pour vous adresser mes chaleureux remerciements et ma profonde reconnaissance pour tous les efforts que vous ne cessez de d�ployer, par le soutien que vous apportez aux retrait�s et surtout la protection pour la sauvegarde des int�r�ts, de leurs droits et de leur dignit�. Je vous fait savoir, par ce compte-rendu, que suite � la publication de ma requ�te dans votre quotidien (notre journal), rubrique �Soir Retraite� du mercredi 18/7/2007, le directeur de la CNR agence de Tizi-Ouzou avait diligent� et d�p�ch� un v�hicule � mon domicile pour m�entendre et me confronter avec la personne cit�e du bureau n�7 au 2e �tage de l�agence. Ce dernier s�est r�tract� et a voulu nier les faits. Mais comme il y avait la pr�sence d�un deuxi�me employ�, heureusement, � qui j�ai fait appel, celui-ci apporta son t�moignage, confirma et approuva mes dires. Apr�s avoir entendu ce t�moignage, le directeur m�a pr�sent� des excuses, tout en me faisant part de sa d�cision de le faire passer en conseil de discipline. Je vous demande et vous prie d��largir et de continuer sur cet �lan avec notre participation pour d�noncer et combattre afin d��radiquer ce fl�au de �terrorisme� administratif dans les institutions de l��tat qui ne cesse de harceler le citoyen qui revendique tout simplement ses droits. Habani Omar, village A�t Abdelkader, commune A�t Oumalou, Larba�-Nath-Irathen Retraite sans condition d'�ge Je vous prie de bien vouloir m�orienter. J�ai d�j� �crit il y a quelques mois, je ne me suis peut-�tre pas bien expliqu�, car la r�ponse n��tait pas claire. Voil�, je vous expose ci-dessous ma situation. J��tais employ� dans une entreprise nationale dans le Sud. En 1991, j�ai �t� mis en sureffectif, avec plusieurs de mes coll�gues de travail, et licenci�. Nous avons fait plusieurs tentatives pour �tre r�int�gr�s, en vain. En 2005, j�ai �t� dans l�obligation de faire valoir mes droits � la retraite. J�ai �t� class� dans la proportionnelle sans condition d��ge, et de ce fait, ma situation n�a pas �volu� � ce jour. Je cumule 21 ans de travail. Je voudrais, s�il vous pla�t, savoir comment faire pour faire valoir mes droits aux augmentations. Je suis en possession d�une d�cision de licenciement pour compression. Dois-je fournir une copie � la CNR ? Est-ce qu�il existe � leur niveau des listes des personnels licenci�s � travers le territoire national ? Mechentel M. El Kamel Souk Ahras R�PONSE : Les pr�cisions que vous donnez confirment bien qu'il s'agit d'un d�part volontaire � la retraite et sans condition d'�ge. Ce type de retraite, et la r�glementation est claire � ce sujet, est r�put� d�finitif et non r�visable, donc non sujet � augmentations. Coordonn�es des organismes fran�ais de retraite compl�mentaire Retrait�, ancien travailleur �migr� de France, je vous serai tr�s reconnaissant de ce que vous pourriez rendre service en publiant, dans une de vos prochaines �ditions du �Soir Retraite� les coordonn�es du groupe Agirc � l�instar de celui d�Arrco que vous aviez pr�c�demment publi� et qui, une fois relev� et mon dossier de retraite constitu�, m�a permis d�obtenir une retraite compl�mentaire � celui du r�gime g�n�ral de la Cnan. Mille remerciements. M. H. Hachemi El Madania, Alger R�PONSE : Les retraites compl�mentaires en France sont des r�gimes par points g�r�s pour l'essentiel par l'Arrco, pour tous les emplois dans le secteur priv�, et par l'Agirc, pour les emplois de cadres dans le secteur priv�. AGIE ARRCO-AGIRC 16-18, rue Jules-C�sar - 75012 Paris T�l. : 01 71 72 12 00 Fax : (00 33) 1 71 72 16 00 Site Internet : www.agirc.fr Anciens combattants alg�riens de l'arm�e fran�aise Suite � votre r�ponse dans Le Soir d'Alg�rie dat� du 27 juin 200,7 par laquelle vous m'aviez demand� de pr�ciser de quelle institution je souhaitais obtenir les coordonn�es afin de faire valoir mes droits, il s'agit de l'Association nationale de d�fense des anciens combattants alg�riens de l'arm�e fran�aise dont l'abr�viation est ANDDACAAF, cr��e le 7 juin 2002 au cours d'une assembl�e g�n�rale tenue par ces membres fondateurs qui ont �lu les membres du bureau, dont Benabb�s Mohamed Ch�rif a �t� d�sign� pr�sident. Pour me permettre de r�clamer aupr�s des institutions concern�es le paiement de l'application de l'arr�t Diop pris par le Conseil d'Etat fran�ais le 30 novembre 2001, ainsi que la reconnaissance de l'article 14 de la Convention europ�enne des droits de l'homme. Cet arr�t confortait les anciens combattants �trangers de l'arm�e fran�aise dans leur droit de voir leur pension � gel�e depuis 1959 �, align�e sur celle de leurs homologues fran�ais, et donc revaloris�e avec rappel d'arri�r�s, ainsi que pour les veuves et enfants de ces anciens combattants. Betrouche Rachid Kouba, Alger R�PONSE : Nous vous proposons de prendre contact avec les organismes et organisations suivants : - Ambassade de France en Alg�rie Service des anciens combattants 25, chemin Abdelkader-Gadouche, Hydra, Alger T�l. : +213 21 98 17 70/71 ; T�l�copie : + 213 21 98 17 73 Email : [email protected][email protected] - Minist�re de la D�fense, direction des statuts, des pensions et de la r�insertion sociale 37, rue de Bellechasse 75007 Paris - Minist�re de la D�fense, DSPRS rue Neuve, Bourg l�Abb� bo�te postale 552 14047 Caen, Cedex France - Office national des anciens combattants (Onac), H�tel national des invalides Esc. K, corridor de Metz 75007 Paris (France) - Association nationale de d�fense des droits des anciens combattants alg�riens de l�arm�e fran�aise, ANDDACAAF villa Coopamina Lotissement n�2 Ben Haddadi Dar Eddiaf, Ch�raga, Alger T�l./Fax : 021 37 17 28 - 021 37 17 29