La lune vibre de douleurs Le ciel pleure la femme qui meurt Fr�res et s�urs Ont perdu leurs m�urs Le monde souffre de sa solitude Pour lui, on n�a pas d�inqui�tude Il r�vait de bonheur et d�amour Il ne voulait pas voir la ranc�ur et l�erreur M�me le sanguinaire est habit� par la peur Nous sommes tous atteints Par cette rage, folie de nos instincts L��tat de la plan�te craint Elle meurt dans le creux de nos mains De rouge, on la peint A la fin, on ne se sentira pas sain. Aghiles,